La nécropole punique d’El Mansourah (Kélibia-cap Bon). Etudes d'Antiquités africaines 44.
CNRS éditionsN° d'inventaire | 26768 |
Format | 22 x 28 |
Détails | 358 p., illustrations couleur, broché. |
Publication | Paris, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782271141859 |
À Kélibia (cap Bon, Tunisie), a été fouillé en 1984-1985 un secteur de la nécropole punique d’El Mansourah : ont été dégagés 28 tombes intactes, dont 23 hypogées, les restes osseux de 56 sujets et 1127 éléments de mobilier (céramiques, monnaies, amulettes, objets de parure et éléments métalliques).
Ces découvertes ont permis d’approfondir notre connaissance du monde funéraire punique en Afrique du Nord entre la fin du IVe et la première moitié du IIIe siècle avant notre ère. Elles précisent non seulement les spécificités architecturales des tombes puniques, mais renseignent aussi les rites de crémation, grâce à la découverte de deux ustrina, ou encore la pratique du bris de vase, ainsi que les variantes de composition du mobilier funéraire, mêlant céramiques et différentes offrandes.
Si ces découvertes s’insèrent dans le modèle plus général des tombes à dromos du cap Bon, elles s’en distinguent par une combinaison d’accessoires et d’aménagements qui lui sont propres.
Cette recherche constitue une étape importante qui ouvre le chemin à de multiples analyses dans les domaines de l’anthropologie, l’archéozoologie, l’archéométrie et la carpologie. La reprise récente des travaux sur le terrain rend encore plus cruciale la mise à disposition de ses éléments documentaires.
À Kélibia (cap Bon, Tunisie), a été fouillé en 1984-1985 un secteur de la nécropole punique d’El Mansourah : ont été dégagés 28 tombes intactes, dont 23 hypogées, les restes osseux de 56 sujets et 1127 éléments de mobilier (céramiques, monnaies, amulettes, objets de parure et éléments métalliques).
Ces découvertes ont permis d’approfondir notre connaissance du monde funéraire punique en Afrique du Nord entre la fin du IVe et la première moitié du IIIe siècle avant notre ère. Elles précisent non seulement les spécificités architecturales des tombes puniques, mais renseignent aussi les rites de crémation, grâce à la découverte de deux ustrina, ou encore la pratique du bris de vase, ainsi que les variantes de composition du mobilier funéraire, mêlant céramiques et différentes offrandes.
Si ces découvertes s’insèrent dans le modèle plus général des tombes à dromos du cap Bon, elles s’en distinguent par une combinaison d’accessoires et d’aménagements qui lui sont propres.
Cette recherche constitue une étape importante qui ouvre le chemin à de multiples analyses dans les domaines de l’anthropologie, l’archéozoologie, l’archéométrie et la carpologie. La reprise récente des travaux sur le terrain rend encore plus cruciale la mise à disposition de ses éléments documentaires.