La littérature de l'Egypte ancienne IV. Nouvel Empire : XVIIIe dynastie.
MATHIEU Bernard.

La littérature de l'Egypte ancienne IV. Nouvel Empire : XVIIIe dynastie.

Les Belles Lettres
Prix régulier €35,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 31582
Format 16 x 24
Détails 464 p., 65 ill., broché
Publication Paris, 2025
Etat Neuf
ISBN 9782251456614

L’Égypte des pharaons n’est pas que pyramides monumentales, temples majestueux ou tombes inviolées. Elle nous a légué aussi, par la volonté même de ses lettrés, une prodigieuse littérature. Tout aussi dignes d’intérêt que ses trésors de pierre, les oeuvres présentées dans les huit volumes de cette Littérature de l’Égypte ancienne témoignent de la richesse d’une longue tradition et, souvent, de l’originalité et de la profondeur d’une pensée ciselée au fil des siècles. Rituels funéraires, hymnes et prières, contes mythologiques, narrations royales, autobiographies, sagesses, lettres fictives, etc., plusieurs de ces textes n’avaient jamais fait l’objet d’une traduction française. Tous sont accompagnés d’une bibliographie actualisée et de notes philologiques utiles à leur compréhension.

Le quatrième volume de cette anthologie présente certains aspects de la littérature, au sens large, de l’une des périodes les plus célèbres de l’Égypte ancienne : la XVIIIe dynastie (env. 1540-1292 avant notre ère). Le lecteur y découvrira des oeuvres relevant de genres variés : chants de deuil, hymnes – dont le Grand Hymne au Nil et le Grand Hymne à Aton –, chapitres du Livre des Morts et grandes compositions funéraires. Mais aussi quelques autobiographies des « grands hommes » de ce temps comme Sénenmout, le confident de la reine-pharaon Hatchepsout, Amenhotep fils de Hapou, un proche du « roi soleil » Amenhotep III, ou encore le gouverneur Pahéry qui proclame, sans fausse modestie : « mon calame a fait de moi un érudit ».

L’Égypte des pharaons n’est pas que pyramides monumentales, temples majestueux ou tombes inviolées. Elle nous a légué aussi, par la volonté même de ses lettrés, une prodigieuse littérature. Tout aussi dignes d’intérêt que ses trésors de pierre, les oeuvres présentées dans les huit volumes de cette Littérature de l’Égypte ancienne témoignent de la richesse d’une longue tradition et, souvent, de l’originalité et de la profondeur d’une pensée ciselée au fil des siècles. Rituels funéraires, hymnes et prières, contes mythologiques, narrations royales, autobiographies, sagesses, lettres fictives, etc., plusieurs de ces textes n’avaient jamais fait l’objet d’une traduction française. Tous sont accompagnés d’une bibliographie actualisée et de notes philologiques utiles à leur compréhension.

Le quatrième volume de cette anthologie présente certains aspects de la littérature, au sens large, de l’une des périodes les plus célèbres de l’Égypte ancienne : la XVIIIe dynastie (env. 1540-1292 avant notre ère). Le lecteur y découvrira des oeuvres relevant de genres variés : chants de deuil, hymnes – dont le Grand Hymne au Nil et le Grand Hymne à Aton –, chapitres du Livre des Morts et grandes compositions funéraires. Mais aussi quelques autobiographies des « grands hommes » de ce temps comme Sénenmout, le confident de la reine-pharaon Hatchepsout, Amenhotep fils de Hapou, un proche du « roi soleil » Amenhotep III, ou encore le gouverneur Pahéry qui proclame, sans fausse modestie : « mon calame a fait de moi un érudit ».