L'offrande aux dieux dans le temple égyptien.
PeetersN° d'inventaire | 15332 |
Format | 17 x 24 |
Détails | 291 p., illustrations, broché. |
Publication | Louvain la Neuve, 2011 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9789042925687 |
Rois et dieux ornent les parois des temples égyptiens dans un face à face qui a uni pendant deux millénaires le roi et la divinité. Le roi, fils du dieu, présente à son ancêtre un plateau, ou exécute un rituel. Les quelque deux cents offrandes se répartissent selon les thèmes suivants: purifications et boissons, nourritures et produits du sol, parures et cosmétiques, rites funéraires et défensifs, rites royaux. Toutes sont décrites, depuis leur sens en quelque sorte trivial (par exemple, la bière comme boisson quotidienne) jusqu'à leurs connotations les plus symboliques (la bière est aussi un breuvage sacré qui procure une ivresse de nature divine, voir qui annihile la force destructrice de la fille de Rê). Un dessin et des photographies illustrent chacune des rubriques. L'intitulé de l'offrande est aussi donné en hiéroglyphe pour permettre à chacun de repérer les mots sur la pierre. Les traductions des textes les plus significatifs accompagnent chacune des offrandes; à la dernière période de l'histoire égyptienne (époque gréco-romaine, de 300 av. j.-C. à 300 ap. J.-C.), le décor s'enrichit en effet d'inscriptions développées, rédigées en langue dite «ptolémaïque que fort peu d'égyptologues sont à même de traduire aisément. Les derniers grands temples sont de véritables bibliothèques «pariétales.
Rois et dieux ornent les parois des temples égyptiens dans un face à face qui a uni pendant deux millénaires le roi et la divinité. Le roi, fils du dieu, présente à son ancêtre un plateau, ou exécute un rituel. Les quelque deux cents offrandes se répartissent selon les thèmes suivants: purifications et boissons, nourritures et produits du sol, parures et cosmétiques, rites funéraires et défensifs, rites royaux. Toutes sont décrites, depuis leur sens en quelque sorte trivial (par exemple, la bière comme boisson quotidienne) jusqu'à leurs connotations les plus symboliques (la bière est aussi un breuvage sacré qui procure une ivresse de nature divine, voir qui annihile la force destructrice de la fille de Rê). Un dessin et des photographies illustrent chacune des rubriques. L'intitulé de l'offrande est aussi donné en hiéroglyphe pour permettre à chacun de repérer les mots sur la pierre. Les traductions des textes les plus significatifs accompagnent chacune des offrandes; à la dernière période de l'histoire égyptienne (époque gréco-romaine, de 300 av. j.-C. à 300 ap. J.-C.), le décor s'enrichit en effet d'inscriptions développées, rédigées en langue dite «ptolémaïque que fort peu d'égyptologues sont à même de traduire aisément. Les derniers grands temples sont de véritables bibliothèques «pariétales.