L'Inventaire infini.
Xavier BarralN° d'inventaire | 22106 |
Format | 17,5 x 25 |
Détails | 256 p., environ 300 photographies N/B et couleur, relié. |
Publication | Paris, 2019 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782365112208 |
Avant tout cinéaste, mais surtout photographe, Sébastien Lifshitz s'intéresse depuis toujours au statut de la photographie vernaculaire dans le champ des arts visuels en construisant une collection exceptionnelle de tirages de toutes les époques et de toutes les provenances. Après Mauvais genre (2016), qui présentait des images du travestissement, Photo perdue. Photo trouvée explore le spectre plus large de la technique photographique en elle-même. C'est à travers neuf thèmes incontournables comme l'identité, le jeu, l'amour ou encore la couleur que nous traversons l'histoire de la photographie mais aussi la façon de la pratiquer. Il est ici question de proposer des images amateurs qui sont liées entre elles par leur sujet et leur technique, mais qui sont surtout des productions anonymes, et dont le résultat visuel est si intéressant qu'il transforme leur statut en oeuvres. Le livre raconte des fragments d'histoires, en mêlant le temps et l'espace, qui se construisent grâce à la diversité du médium et dans laquelle chacun se retrouvera. Chaque série est accompagnée d'un texte qui recontextualise les images dans leur contexte historique. Les thèmes : La première entrée, Identité, met en relation différentes formes notamment des photographies d'identité judiciaire, médicales, des photomatons ou encore de publicité. Puis vient Amour et désir et l'imagerie de la vie de couple, jusqu'au fétichisme. Tout est raté aborde avec amusement les erreurs, problèmes techniques, mauvais cadrage ou surexposition. La série des Jeux photographiques propose des photomontages, des jeux de miroirs ou des déformations qui aboutissent à une photographie plastique. La vie en couleur explore l'apogée de la photographie couleur et notamment du Kodachrome. Faut que ça bouge traite du mouvement, du corps libéré et de la vitesse. Récits présente des histoires particulières, une femme dans Berlin, un sac... La dernière série, Tout doit disparaître, montre la destruction dans et de la photographie elle-même.
Avant tout cinéaste, mais surtout photographe, Sébastien Lifshitz s'intéresse depuis toujours au statut de la photographie vernaculaire dans le champ des arts visuels en construisant une collection exceptionnelle de tirages de toutes les époques et de toutes les provenances. Après Mauvais genre (2016), qui présentait des images du travestissement, Photo perdue. Photo trouvée explore le spectre plus large de la technique photographique en elle-même. C'est à travers neuf thèmes incontournables comme l'identité, le jeu, l'amour ou encore la couleur que nous traversons l'histoire de la photographie mais aussi la façon de la pratiquer. Il est ici question de proposer des images amateurs qui sont liées entre elles par leur sujet et leur technique, mais qui sont surtout des productions anonymes, et dont le résultat visuel est si intéressant qu'il transforme leur statut en oeuvres. Le livre raconte des fragments d'histoires, en mêlant le temps et l'espace, qui se construisent grâce à la diversité du médium et dans laquelle chacun se retrouvera. Chaque série est accompagnée d'un texte qui recontextualise les images dans leur contexte historique. Les thèmes : La première entrée, Identité, met en relation différentes formes notamment des photographies d'identité judiciaire, médicales, des photomatons ou encore de publicité. Puis vient Amour et désir et l'imagerie de la vie de couple, jusqu'au fétichisme. Tout est raté aborde avec amusement les erreurs, problèmes techniques, mauvais cadrage ou surexposition. La série des Jeux photographiques propose des photomontages, des jeux de miroirs ou des déformations qui aboutissent à une photographie plastique. La vie en couleur explore l'apogée de la photographie couleur et notamment du Kodachrome. Faut que ça bouge traite du mouvement, du corps libéré et de la vitesse. Récits présente des histoires particulières, une femme dans Berlin, un sac... La dernière série, Tout doit disparaître, montre la destruction dans et de la photographie elle-même.