L’art et le nombre.
BARED Robert.

L’art et le nombre.

Hazan
Prix régulier €29,95 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 23766
Format 17 x 22
Détails 200 p., broché.
Publication Paris, 2021
Etat Neuf
ISBN 9782754111010

Les nombres sont, dans la pensée pythagoricienne, « l’étoffe » de l’univers, les principes qui gouvernent toutes choses. L’œuvre d’art n’échappe pas à ce constat : elle s’appuie sur un rythme et des proportions, par conséquent sur le nombre, et c’est encore plus manifeste lorsqu’un nombre est au centre de son sujet, historique ou fictif. Cet ouvrage envisage la façon dont la représentation artistique est régie par le nombre des éléments qu’elle renferme, objets, personnages, motifs structurels. Il constitue, plus largement, un panorama de la présence esthétique et symbolique des nombres dans tous les arts.
Explorant les neuf premiers nombres, l’essai de Robert Bared, de type encyclopédique et fort d’une objectivité pédagogique, interroge aussi notre relation à l’autre et à nous-même, à travers le narcissisme, le dédoublement, le triangle amoureux, le quatuor amical, et se lit comme une invitation sensible à une autre intimité du monde.

Les nombres sont, dans la pensée pythagoricienne, « l’étoffe » de l’univers, les principes qui gouvernent toutes choses. L’œuvre d’art n’échappe pas à ce constat : elle s’appuie sur un rythme et des proportions, par conséquent sur le nombre, et c’est encore plus manifeste lorsqu’un nombre est au centre de son sujet, historique ou fictif. Cet ouvrage envisage la façon dont la représentation artistique est régie par le nombre des éléments qu’elle renferme, objets, personnages, motifs structurels. Il constitue, plus largement, un panorama de la présence esthétique et symbolique des nombres dans tous les arts.
Explorant les neuf premiers nombres, l’essai de Robert Bared, de type encyclopédique et fort d’une objectivité pédagogique, interroge aussi notre relation à l’autre et à nous-même, à travers le narcissisme, le dédoublement, le triangle amoureux, le quatuor amical, et se lit comme une invitation sensible à une autre intimité du monde.