L'Âge d'or hollandais. De Rembrandt à Vermeer avec les trésors du Rijksmuseum
PinacothèqueN° d'inventaire | 13481 |
Format | 24,5 x 28,5 |
Détails | 303 p., 126 planches en couleur, relié. |
Publication | Paris, 2009 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782358670043 |
L’exposition présente un ensemble exceptionnel de plus de cent trente pièces dont une soixantaine de tableaux, une trentaine d’oeuvres graphiques (dessins et aquarelles), une dizaine de gravures ainsi qu’une dizaine d’objets pour illustrer de manière très représentative la période (tapisseries, faïences, miniatures en bois, argenterie et verrerie). À travers l’art de ce temps, il s’agit de comprendre comment la jeune république - créée en 1581- va, grâce à sa réussite commerciale et sa tolérance de pensée, devenir l’une des puissances commerciales les plus fortes d’Europe. C’est avant tout par la liberté de culte que la république des Provinces-Unies (ancêtre des Pays-Bas) attira nombre de personnalités qui trouvaient en ce lieu la possibilité de travailler, de penser et de pratiquer leur religion alors qu’ils étaient persécutés pour leur croyance dans leur pays d’origine. Écrivains, penseurs affluèrent de toute l’Europe pour enseigner, publier et développer leur savoir. Cette partie du monde devint ainsi le centre du monde en matière de connaissances. La puissance commerciale maritime est vite associée à cette puissance de savoir. Amsterdam devient l’une des places économiques les plus importantes pour l’industrie, le commerce et l’art. C’est donc assez naturellement que la jeune république devint également un centre où s’épanouit la culture dans le sens le plus large, aussi bien dans le domaine des lettres que des arts. Issue de familles patriciennes, la classe moyenne devint la principale commanditaire d’oeuvres. L’art et la culture constituèrent une nouvelle forme de prospérité économique et industrielle.
L’exposition présente un ensemble exceptionnel de plus de cent trente pièces dont une soixantaine de tableaux, une trentaine d’oeuvres graphiques (dessins et aquarelles), une dizaine de gravures ainsi qu’une dizaine d’objets pour illustrer de manière très représentative la période (tapisseries, faïences, miniatures en bois, argenterie et verrerie). À travers l’art de ce temps, il s’agit de comprendre comment la jeune république - créée en 1581- va, grâce à sa réussite commerciale et sa tolérance de pensée, devenir l’une des puissances commerciales les plus fortes d’Europe. C’est avant tout par la liberté de culte que la république des Provinces-Unies (ancêtre des Pays-Bas) attira nombre de personnalités qui trouvaient en ce lieu la possibilité de travailler, de penser et de pratiquer leur religion alors qu’ils étaient persécutés pour leur croyance dans leur pays d’origine. Écrivains, penseurs affluèrent de toute l’Europe pour enseigner, publier et développer leur savoir. Cette partie du monde devint ainsi le centre du monde en matière de connaissances. La puissance commerciale maritime est vite associée à cette puissance de savoir. Amsterdam devient l’une des places économiques les plus importantes pour l’industrie, le commerce et l’art. C’est donc assez naturellement que la jeune république devint également un centre où s’épanouit la culture dans le sens le plus large, aussi bien dans le domaine des lettres que des arts. Issue de familles patriciennes, la classe moyenne devint la principale commanditaire d’oeuvres. L’art et la culture constituèrent une nouvelle forme de prospérité économique et industrielle.