Kelainai-Apameia Kibotos: une métropole achéménide, hellénistique et romaine.
N° d'inventaire | 20326 |
Format | 21 x 29,7 |
Détails | 536 p., illustrations, broché. |
Publication | Bordeaux, 2016 |
Etat | Neuf |
ISBN | |
La série Kelainai se donne pour objectif de publier les résultats des recherches menées sur le centre urbain le plus important de la Phrygie du sud : la ville de Kelainai. Cette dernière commença à avoir une importance suprarégionale dès l’époque achéménide, lorsqu’elle devint un des lieux de résidence du grand roi Xerxès, puis du prince Cyrus le Jeune. À l’époque hellénistique, le roi séleucide Antiochos Ier Sôter (281-261 a.C.) refonda la ville, qui fut alors appelée Apamée, du nom de la mère du souverain. C’est là, en 188 a.C., que fut négociée la paix entre Rome et le royaume séleucide. À l’époque romaine, Apamée fut qualifiée par Strabon de plus grand centre commercial de l’Asie après Éphèse. Malgré son importance historique, la ville n’avait jamais fait l’objet d’une investigation archéologique approfondie. L’étude systématique de ses vestiges antiques n’a commencé qu’en 2008, dans le cadre d’un projet cofinancé par l’Agence Nationale de la Recherche, la Deutsche Forschungsgemeinschaft, la Région d’Aquitaine et d’autres institutions. Ce volume, le second volume de la collection “Kelainai”, continue la publication des résultats de ces recherches effectuées depuis la publication du premier volume en 2011.
La série Kelainai se donne pour objectif de publier les résultats des recherches menées sur le centre urbain le plus important de la Phrygie du sud : la ville de Kelainai. Cette dernière commença à avoir une importance suprarégionale dès l’époque achéménide, lorsqu’elle devint un des lieux de résidence du grand roi Xerxès, puis du prince Cyrus le Jeune. À l’époque hellénistique, le roi séleucide Antiochos Ier Sôter (281-261 a.C.) refonda la ville, qui fut alors appelée Apamée, du nom de la mère du souverain. C’est là, en 188 a.C., que fut négociée la paix entre Rome et le royaume séleucide. À l’époque romaine, Apamée fut qualifiée par Strabon de plus grand centre commercial de l’Asie après Éphèse. Malgré son importance historique, la ville n’avait jamais fait l’objet d’une investigation archéologique approfondie. L’étude systématique de ses vestiges antiques n’a commencé qu’en 2008, dans le cadre d’un projet cofinancé par l’Agence Nationale de la Recherche, la Deutsche Forschungsgemeinschaft, la Région d’Aquitaine et d’autres institutions. Ce volume, le second volume de la collection “Kelainai”, continue la publication des résultats de ces recherches effectuées depuis la publication du premier volume en 2011.