Jules Adler 1865-1952. Peindre sous la troisième République.
Catalogue d'exposition au Musée des Beaux-Arts de Dole d'octobre 2017 à février 2018.

Jules Adler 1865-1952. Peindre sous la troisième République.

Silvana Editoriale
Prix régulier €25,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 21040
Format 24 x 28
Détails 240 p., 140 illustrations, relié.
Publication Milan, 2017
Etat Neuf
ISBN 9788836636327

Peintre franc-comtois né à Luxeuil-les- Bains, Jules Adler (1865-1952) a compté au sein du courant des artistes naturalistes qui ont incarné une voie alternative dans le dernier quart du XIXe siècle entre les avant-gardes impressionnistes et un art plus officiel dit académique. Défenseur d'un art en prise avec la société de la Troisième République, Adler l'a incarné par sa dimension connue « de peintre des humbles «, ouvriers, modestes travailleurs ou chemineaux qui peuplent tout un pan de sa production. Au-delà de cette dimension, l'exposition entend éclairer par pans thématiques les différentes facettes de la démarche du peintre : la question sociale prégnante dans son oeuvre, la notion de régionalisme, son rôle d'artiste sur le front de guerre lors du second conflit mondial, sa condition de peintre des valeurs républicaines, et plus largement les «équivoques du Naturalisme « entre académisme et modernité. L'exposition rassemblera la majorité des oeuvres conservées en collections publiques, l'artiste étant présent, notamment du fait des envois de l'état , dans une trentaine de musées français, ainsi qu'un certain nombre d'oeuvres conservées en collections privées. A ce titre, elle est la première exposition d'envergure qui soit consacrée à ce peintre et participe de la redécouverte et réévaluation du courant naturaliste, dans le droit fil des expositions Jules Bastien-Lepage, Fernand Pelez, Alfred Roll ces dernières années ou Emile Friant très prochainement au musée de Nancy.

Peintre franc-comtois né à Luxeuil-les- Bains, Jules Adler (1865-1952) a compté au sein du courant des artistes naturalistes qui ont incarné une voie alternative dans le dernier quart du XIXe siècle entre les avant-gardes impressionnistes et un art plus officiel dit académique. Défenseur d'un art en prise avec la société de la Troisième République, Adler l'a incarné par sa dimension connue « de peintre des humbles «, ouvriers, modestes travailleurs ou chemineaux qui peuplent tout un pan de sa production. Au-delà de cette dimension, l'exposition entend éclairer par pans thématiques les différentes facettes de la démarche du peintre : la question sociale prégnante dans son oeuvre, la notion de régionalisme, son rôle d'artiste sur le front de guerre lors du second conflit mondial, sa condition de peintre des valeurs républicaines, et plus largement les «équivoques du Naturalisme « entre académisme et modernité. L'exposition rassemblera la majorité des oeuvres conservées en collections publiques, l'artiste étant présent, notamment du fait des envois de l'état , dans une trentaine de musées français, ainsi qu'un certain nombre d'oeuvres conservées en collections privées. A ce titre, elle est la première exposition d'envergure qui soit consacrée à ce peintre et participe de la redécouverte et réévaluation du courant naturaliste, dans le droit fil des expositions Jules Bastien-Lepage, Fernand Pelez, Alfred Roll ces dernières années ou Emile Friant très prochainement au musée de Nancy.