Je suis ce que je vois. Tome 3. Notes sur la peinture et le dessin 2006-2011.
Le temps qu'il faitN° d'inventaire | 22912 |
Format | 14 x 19 |
Détails | 126 p., broché à rabats (4e de couv. abimée). |
Publication | Paris, 2013 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782868535849 |
« Les images manquantes. Dans le calme matinal elles reviennent et disparaissent de nouveau. Elles disparaissent dans un vaste monde qui est là, et pourtant si lointain. Ces images se forment dans les arbres, fruits, maisons, ou collines, dans lesquelles le temps dort. Elles se révèlent dans les peintures, lentement. Elles habitent dans les lieux fermés, dans les feuillages serrés, dans les taches d'usure, dans la lumière du soir de la garrigue. Ces images me donnent de la place, de l'espace.« « Casser l'image, aller vers une force qui disparaît vite, vers une intensité qui manque. Sans elle, la nature est sans vie, l'effort inutile. Où est le calme ? Est-ce que je peux le reconnaître maintenant comme un mouvement naissant. Revenir vers lui sans me projetter encore vers le dessin. Donner du temps au calme.«
« Les images manquantes. Dans le calme matinal elles reviennent et disparaissent de nouveau. Elles disparaissent dans un vaste monde qui est là, et pourtant si lointain. Ces images se forment dans les arbres, fruits, maisons, ou collines, dans lesquelles le temps dort. Elles se révèlent dans les peintures, lentement. Elles habitent dans les lieux fermés, dans les feuillages serrés, dans les taches d'usure, dans la lumière du soir de la garrigue. Ces images me donnent de la place, de l'espace.« « Casser l'image, aller vers une force qui disparaît vite, vers une intensité qui manque. Sans elle, la nature est sans vie, l'effort inutile. Où est le calme ? Est-ce que je peux le reconnaître maintenant comme un mouvement naissant. Revenir vers lui sans me projetter encore vers le dessin. Donner du temps au calme.«