Jaume Plensa. Le silence de la pensée.
SomogyN° d'inventaire | 22969 |
Format | 28 x 24,6 |
Détails | 96 p., broché à rabats. |
Publication | Paris, 2015 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782757209691 |
Né en 1955 dans la capitale catalane, Jaume Plensa conçoit aujourd’hui dans son atelier barcelonais des sculptures monumentales destinées au monde entier. Installées dans des centres urbains ou des espaces naturels en Europe, aux États-Unis ou en Asie, ces réalisations sont remarquables par leur qualité d’insertion dans l’espace public. Trois œuvres emblématiques sont installées en France. Conversation à Nice (2007) se compose de sept personnages de résine lumineuse, assis tels des scribes de l’Antiquité au sommet de perches disséminées sur la place Masséna. À Antibes, Nomade (2010), tête monumentale en maillage de lettres d’acier, au sein de laquelle le visiteur peut pénétrer, domine le Bastion Saint-Jaume. À Bordeaux, Sanna (2013), visage féminin aux yeux clos de sept mètres de haut, en fonte de fer, s’intègre sur la place de la Comédie. Le musée d’Art moderne de Céret propose une version plus intimiste des derniers travaux de l’artiste : visages féminins de basalte ou de bronze dont les yeux clos invitent à l’intériorité, silhouettes formées par un maillage métallique de lettres et signes issus d’alphabets du monde entier, évocateurs de la multiplicité des possibles offerte par le langage. Une conversation muette s’engage entre des personnages de résine lumineuse au sein d’un espace propre au songe et à la méditation.
Né en 1955 dans la capitale catalane, Jaume Plensa conçoit aujourd’hui dans son atelier barcelonais des sculptures monumentales destinées au monde entier. Installées dans des centres urbains ou des espaces naturels en Europe, aux États-Unis ou en Asie, ces réalisations sont remarquables par leur qualité d’insertion dans l’espace public. Trois œuvres emblématiques sont installées en France. Conversation à Nice (2007) se compose de sept personnages de résine lumineuse, assis tels des scribes de l’Antiquité au sommet de perches disséminées sur la place Masséna. À Antibes, Nomade (2010), tête monumentale en maillage de lettres d’acier, au sein de laquelle le visiteur peut pénétrer, domine le Bastion Saint-Jaume. À Bordeaux, Sanna (2013), visage féminin aux yeux clos de sept mètres de haut, en fonte de fer, s’intègre sur la place de la Comédie. Le musée d’Art moderne de Céret propose une version plus intimiste des derniers travaux de l’artiste : visages féminins de basalte ou de bronze dont les yeux clos invitent à l’intériorité, silhouettes formées par un maillage métallique de lettres et signes issus d’alphabets du monde entier, évocateurs de la multiplicité des possibles offerte par le langage. Une conversation muette s’engage entre des personnages de résine lumineuse au sein d’un espace propre au songe et à la méditation.