Jacques Majorelle.
NormaN° d'inventaire | 21026 |
Format | 23 x 30,5 |
Détails | 352 p., 1400 illustrations, relié. |
Publication | Paris, 2017 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782376660224 |
Fils de l’ébéniste nancéen Louis Majorelle, le peintre Jacques Majorelle (1886-1962) est une figure marquante de l’orientalisme. Découvrant Marrakech en 1917, il est fasciné par la lumière et les éclatantes couleurs de la ville comme par ses habitants. Il s’établit tout d’abord villa Bou Saf Saf, puis dans la villa cubiste conçue par l’architecte Paul Sinoir, qui abrite aujourd’hui le musée berbère de la Fondation Jardin Majorelle. Durant près de quarante ans, il peint sans relâche les différentes ambiances de souks, les scènes de la vie quotidienne ou la beauté singulière des modèles venus poser chez lui. Ses nombreux voyages dans les kasbahs de l’Atlas et les autres villes du Maroc lui permettent de restituer toute la richesse des paysages, architectures et marchés, ou des cérémonies dont il est le témoin privilégié. Dans les années quarante, la découverte de l’Afrique subsaharienne provoque un renouvellement esthétique et chromatique qui accompagne toute son oeuvre jusqu’à ses dernières créations.
Fils de l’ébéniste nancéen Louis Majorelle, le peintre Jacques Majorelle (1886-1962) est une figure marquante de l’orientalisme. Découvrant Marrakech en 1917, il est fasciné par la lumière et les éclatantes couleurs de la ville comme par ses habitants. Il s’établit tout d’abord villa Bou Saf Saf, puis dans la villa cubiste conçue par l’architecte Paul Sinoir, qui abrite aujourd’hui le musée berbère de la Fondation Jardin Majorelle. Durant près de quarante ans, il peint sans relâche les différentes ambiances de souks, les scènes de la vie quotidienne ou la beauté singulière des modèles venus poser chez lui. Ses nombreux voyages dans les kasbahs de l’Atlas et les autres villes du Maroc lui permettent de restituer toute la richesse des paysages, architectures et marchés, ou des cérémonies dont il est le témoin privilégié. Dans les années quarante, la découverte de l’Afrique subsaharienne provoque un renouvellement esthétique et chromatique qui accompagne toute son oeuvre jusqu’à ses dernières créations.