Indiens d'Amazonie - Vingt belles années (1955-1975).
5 continents editions| N° d'inventaire | 23970 |
| Format | 24 X 29,7 |
| Détails | 144 p., 72 illustrations en bichromie, cartonnage éditeur. |
| Publication | Milan, 2019 |
| Etat | Neuf |
| ISBN | 9788874398706 |
Bilan positif d’une expérience extraordinaire, et avant tout hommage aux derniers Indiens d’Amazonie vivant encore librement, tels sont les messages dont témoigne la voix influente de l’ethnologue genevois René Fuerst, qui a consacré une grande partie de sa vie aux populations indigènes de l’Amazonie. Cette « autobiographie visuelle » parcourt les régions centrales du Brésil, notamment le Mato Grosso et l’Amazonie profonde, et fait la part belle à ses rencontres, recherches et recueils ethnographiques – autant de témoignages qui sont venus enrichir les musées européens, dont en premier lieu le musée d’Ethnographie de Genève.
Les images en noir et blanc de René Fuerst capturent et racontent une vingtaine de rencontres, s’arrêtant sur les visages, les corps, les cérémonies plus tranquilles et celles agitées par les danses. Même le récit du quotidien au travers des objets qui le rythment se fait digne et conduit le lecteur à une réflexion tout en relief sur les bien connus « tristes tropiques » de Claude Lévi-Strauss.
Bilan positif d’une expérience extraordinaire, et avant tout hommage aux derniers Indiens d’Amazonie vivant encore librement, tels sont les messages dont témoigne la voix influente de l’ethnologue genevois René Fuerst, qui a consacré une grande partie de sa vie aux populations indigènes de l’Amazonie. Cette « autobiographie visuelle » parcourt les régions centrales du Brésil, notamment le Mato Grosso et l’Amazonie profonde, et fait la part belle à ses rencontres, recherches et recueils ethnographiques – autant de témoignages qui sont venus enrichir les musées européens, dont en premier lieu le musée d’Ethnographie de Genève.
Les images en noir et blanc de René Fuerst capturent et racontent une vingtaine de rencontres, s’arrêtant sur les visages, les corps, les cérémonies plus tranquilles et celles agitées par les danses. Même le récit du quotidien au travers des objets qui le rythment se fait digne et conduit le lecteur à une réflexion tout en relief sur les bien connus « tristes tropiques » de Claude Lévi-Strauss.