Idoles. L'art de l'Anatolie et des Cyclades à l'âge du Bronze.
LouvreN° d'inventaire | 23932 |
Format | 21 x 27 |
Détails | 222 pages, 99 fiches, très nombreuses illustrations couleur, cartes, broché. |
Publication | Rodez, 2021 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782954068978 |
Les expositions consacrées à l’art cycladique n’ont pas eu lieu en France depuis 1984 et l’approche croisée entre ces deux cultures est inédite. Le parcours s’attache aussi à révéler l’influence féconde de leur découverte dans la production artistique de la première moitié du XXe siècle (Brancusi, Giacometti, Zadkine…). Près de 65 pièces du musée du Louvre, dont la célèbre tête de Kéros et plus de 30 objets provenant de musées français et européens (Allemagne, Suisse, Belgique) sont réunies exceptionnellement au musée Fenaille jusqu’au 17 octobre. Cette sélection donne à voir des pièces iconiques et un ensemble d’œuvres aux formes singulières encore largement méconnu du grand public.
L’exposition Idoles porte un regard croisé sur les statuettes anatoliennes et cycladiques au tournant du Chalcolithique et de l’Âge du bronze. Les idoles cycladiques sont bien connues pour leur beauté qualifiée de moderne ; celles d’Anatolie partagent le même goût pour une représentation synthétique de la figure humaine. L’exposition propose de mettre en avant les points communs et les spécificités, les rapports d’échanges et d’influences culturelles complexes entre ces deux régions voisines tout en interrogeant la notion « d’idole ». Ce type de démarche n’a jamais fait l’objet d’expositions dédiées. Dans le prolongement de ces comparaisons, l’exposition évoquera l’influence féconde des idoles cycladiques sur la production artistique des années 1900-1950 grâce à quelques confrontations avec des œuvres iconiques de Brancusi, Giacometti, Zadkine…
Les expositions consacrées à l’art cycladique n’ont pas eu lieu en France depuis 1984 et l’approche croisée entre ces deux cultures est inédite. Le parcours s’attache aussi à révéler l’influence féconde de leur découverte dans la production artistique de la première moitié du XXe siècle (Brancusi, Giacometti, Zadkine…). Près de 65 pièces du musée du Louvre, dont la célèbre tête de Kéros et plus de 30 objets provenant de musées français et européens (Allemagne, Suisse, Belgique) sont réunies exceptionnellement au musée Fenaille jusqu’au 17 octobre. Cette sélection donne à voir des pièces iconiques et un ensemble d’œuvres aux formes singulières encore largement méconnu du grand public.
L’exposition Idoles porte un regard croisé sur les statuettes anatoliennes et cycladiques au tournant du Chalcolithique et de l’Âge du bronze. Les idoles cycladiques sont bien connues pour leur beauté qualifiée de moderne ; celles d’Anatolie partagent le même goût pour une représentation synthétique de la figure humaine. L’exposition propose de mettre en avant les points communs et les spécificités, les rapports d’échanges et d’influences culturelles complexes entre ces deux régions voisines tout en interrogeant la notion « d’idole ». Ce type de démarche n’a jamais fait l’objet d’expositions dédiées. Dans le prolongement de ces comparaisons, l’exposition évoquera l’influence féconde des idoles cycladiques sur la production artistique des années 1900-1950 grâce à quelques confrontations avec des œuvres iconiques de Brancusi, Giacometti, Zadkine…