Hopper, L'Horizon intra muros: Une lecture de Edward Hopper, Nighthawks, 1942, Art Institute of Chicago.
BARTELET Franz.

Hopper, L'Horizon intra muros: Une lecture de Edward Hopper, Nighthawks, 1942, Art Institute of Chicago.

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N° d'inventaire 16592
Format 13 x 21
Détails 64 p., broché à rabats.
Publication Ennetieres-en-Weppes, 2012
Etat Neuf
ISBN 9782918698395

« Edward Hopper (1882-1967) Nighthawks, 1942 « : une carte postale, sa légende, et le commencement, voilà bien des années, d'une correspondance intime et inépuisable entre l'écrivain Franz Bartelt et cette toile panoramique du peintre des grandes solitudes. En observant ses personnages qui, dans la nuit, attirent la lumière mais créent vide et silence autour d'eux, Bartelt dénoue l'« impression de déjà-vu que lui inspire le tableau, à laquelle répondent des morceaux de « poésie spontanée «, rêveries poétiques accumulées au fil du temps. A travers le tableau de Hopper, Bartelt nous parle avec sincérité de notre étrangeté les uns avec les autres, avec nous-mêmes, de l'inéluctabilité de la nuit : « Tout compte fait, ce n'est même peut-être pas tant la solitude que les solitudes, à chacun la sienne, de plus en plus impartageable à mesure que le temps passe, que la nuit gonfle et prend dans les quartiers la place de la vie. «

« Edward Hopper (1882-1967) Nighthawks, 1942 « : une carte postale, sa légende, et le commencement, voilà bien des années, d'une correspondance intime et inépuisable entre l'écrivain Franz Bartelt et cette toile panoramique du peintre des grandes solitudes. En observant ses personnages qui, dans la nuit, attirent la lumière mais créent vide et silence autour d'eux, Bartelt dénoue l'« impression de déjà-vu que lui inspire le tableau, à laquelle répondent des morceaux de « poésie spontanée «, rêveries poétiques accumulées au fil du temps. A travers le tableau de Hopper, Bartelt nous parle avec sincérité de notre étrangeté les uns avec les autres, avec nous-mêmes, de l'inéluctabilité de la nuit : « Tout compte fait, ce n'est même peut-être pas tant la solitude que les solitudes, à chacun la sienne, de plus en plus impartageable à mesure que le temps passe, que la nuit gonfle et prend dans les quartiers la place de la vie. «