Histoires tragico-maritimes, 1552-1563, chefs d'oeuvres de naufrages portugais.
ChandeigneN° d'inventaire | 25702 |
Format | 12 x 17,5 |
Détails | 256 p., quelques illustrations, broché. |
Publication | Paris, 2016 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782367321264 |
Collection "Magellane".
Ces stupéfiants récits de naufrage constituent, avec la Pérégrination de
Fernão Mendes Pinto, le chef-d’oeuvre de la littérature portugaise de
voyage. Publiés dès le xvie siècle en plaquettes bon marché, ils connurent
un grand succès avant d’être rassemblés (au moins pour douze d’entre
eux) par Bernardo Gomes de Brito, en 1735-1736, sous le titre évocateur
d’História trágico-marítima.
Le livre réunit ici la célèbre Perte du grand galion São João sur la côte du
Natal en 1552, où est narrée la fin tragique du capitaine Manoel de Sousa
Sepúlveda et de sa femme Leonor ; le Naufrage de la nef Conceição qui s’est
perdue sur les basses de Peros Banhos en 1555 ; et le Naufrage de la nef São
Paulo survenu en 1562 à l’île de Sumatra.
« Dans ces pages où les hommes meurent par milliers, souligne José
Saramago en préface, ce n’est pas seulement la terrible réalité des voyages
de l’époque qui est décrite, mais aussi la pure condition humaine, montrée
dans sa misère et sa grandeur. »
Collection "Magellane".
Ces stupéfiants récits de naufrage constituent, avec la Pérégrination de
Fernão Mendes Pinto, le chef-d’oeuvre de la littérature portugaise de
voyage. Publiés dès le xvie siècle en plaquettes bon marché, ils connurent
un grand succès avant d’être rassemblés (au moins pour douze d’entre
eux) par Bernardo Gomes de Brito, en 1735-1736, sous le titre évocateur
d’História trágico-marítima.
Le livre réunit ici la célèbre Perte du grand galion São João sur la côte du
Natal en 1552, où est narrée la fin tragique du capitaine Manoel de Sousa
Sepúlveda et de sa femme Leonor ; le Naufrage de la nef Conceição qui s’est
perdue sur les basses de Peros Banhos en 1555 ; et le Naufrage de la nef São
Paulo survenu en 1562 à l’île de Sumatra.
« Dans ces pages où les hommes meurent par milliers, souligne José
Saramago en préface, ce n’est pas seulement la terrible réalité des voyages
de l’époque qui est décrite, mais aussi la pure condition humaine, montrée
dans sa misère et sa grandeur. »