Histoire romaine, livre 40-41, César et Pompée.
Les Belles Lettres.N° d'inventaire | 25612 |
Format | 13,5 x 21 |
Détails | 160 p., broché avec rabats. |
Publication | Paris, 1996 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782251339283 |
Collection "La roue à livres".
Les sept années (54 à 48 av. J.-C.) que couvrent les livres 40 et 41 de l'Histoire romaine de Dion Cassius sont cruciales : l'éclatement du triumvirat qui s'est partagé le pouvoir et l’empire, la puissance grandissante de César auréolé par ses conquêtes gauloises et son affrontement avec l’autre général dévoré d’ambition, Pompée, marquent virtuellement la fin de la République.
Avec un recul de trois siècles et demi, Dion Cassius, sénateur romain et historien grec, montre, sans prendre parti pour l’un ou pour l’autre des deux adversaires, l’impuissance du Sénat, la faillite des institutions républicaines et la tyrannie naissante des dynastes. Il le fait dans un récit qui privilégie les scènes et dramatise les fureurs et les déchirements qui traversent les citoyens des deux camps emportés dans la même guerre sans merci.
La présente traduction est la première en français depuis près de cent cinquante ans.
Collection "La roue à livres".
Les sept années (54 à 48 av. J.-C.) que couvrent les livres 40 et 41 de l'Histoire romaine de Dion Cassius sont cruciales : l'éclatement du triumvirat qui s'est partagé le pouvoir et l’empire, la puissance grandissante de César auréolé par ses conquêtes gauloises et son affrontement avec l’autre général dévoré d’ambition, Pompée, marquent virtuellement la fin de la République.
Avec un recul de trois siècles et demi, Dion Cassius, sénateur romain et historien grec, montre, sans prendre parti pour l’un ou pour l’autre des deux adversaires, l’impuissance du Sénat, la faillite des institutions républicaines et la tyrannie naissante des dynastes. Il le fait dans un récit qui privilégie les scènes et dramatise les fureurs et les déchirements qui traversent les citoyens des deux camps emportés dans la même guerre sans merci.
La présente traduction est la première en français depuis près de cent cinquante ans.