Hiroshige. Cent vues d'Edo.
HazanN° d'inventaire | 23150 |
Format | 17 x 25 |
Détails | 288 p., 50 p., leporello et fascicule, sous emboitage. |
Publication | Paris, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782754111553 |
L’un des plus célèbres recueils d’estampes de Hiroshige, le dernier publié de son vivant, reproduit en fac-similé avec une reliure à la japonaise, sous forme de coffret prestigieux, accompagné d'un livret explicatif décrivant chacune des estampes de la suite du grand maître japonais. En 1855, un terrible tremblement de terre dévaste la ville d’Edo (rebaptisée Tokyo par la suite), et environ dix ans plus tard, Hiroshige (1797-1858) entreprend de dessiner les cent visages de sa ville natale. S’il restitue les changements bien réels de la cité, il y introduit aussi la projection de ses propres rêves, empreints de nostalgie. Le célèbre paysagiste donne ainsi à voir avec lyrisme les sites les plus renommés, parfois leur reconstruction récente, mais il rend compte également avec précision de la vie quotidienne des habitants, de leurs coutumes et de leur environnement. Bien que, traditionnellement, les paysages soient présentés au format horizontal, Hiroshige a choisi avec audace la verticalité pour ce recueil – le dernier publié de son vivant –, jouant avec les gros plans et les compositions originales, et confirmant ainsi son statut de maître de l’estampe ukiyo-e.
L’un des plus célèbres recueils d’estampes de Hiroshige, le dernier publié de son vivant, reproduit en fac-similé avec une reliure à la japonaise, sous forme de coffret prestigieux, accompagné d'un livret explicatif décrivant chacune des estampes de la suite du grand maître japonais. En 1855, un terrible tremblement de terre dévaste la ville d’Edo (rebaptisée Tokyo par la suite), et environ dix ans plus tard, Hiroshige (1797-1858) entreprend de dessiner les cent visages de sa ville natale. S’il restitue les changements bien réels de la cité, il y introduit aussi la projection de ses propres rêves, empreints de nostalgie. Le célèbre paysagiste donne ainsi à voir avec lyrisme les sites les plus renommés, parfois leur reconstruction récente, mais il rend compte également avec précision de la vie quotidienne des habitants, de leurs coutumes et de leur environnement. Bien que, traditionnellement, les paysages soient présentés au format horizontal, Hiroshige a choisi avec audace la verticalité pour ce recueil – le dernier publié de son vivant –, jouant avec les gros plans et les compositions originales, et confirmant ainsi son statut de maître de l’estampe ukiyo-e.