PICARD Pascale, LE NORMAND ROMAIN Antoinette.
Guinor Renoir: La couleur de la sculpture.
Silvana Editoriale
Prix régulier
€39,00
N° d'inventaire | 30085 |
Format | 24,5 x 29 |
Détails | 296 p., illustré, cartonnage éditeur. |
Publication | Milan, 2023 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9788836653867 |
Richard Guino (1890-1973) est un sculpteur catalan né à Gérone où il entame une formation tout aussi précoce que brillante qu’il poursuit à l’École d’art de La Llotja à Barcelone, avant d’entrer dans l’atelier d’Aristide Maillol à Paris, en 1910.
D’emblée, Richard Guino envisage une carrière d’artiste indépendant stimulée par la recherche d’une modernité dont il découvre le langage et qu’il accompagne de ses jeunes convictions. Cariatides, métopes et figures peuplent alors l’atelier qu’il choisit d’installer à Montparnasse, en plein cœur du Paris de l’avant-garde artistique. Par l’entremise du marchand d’art Ambroise Vollard, et dès 1913, il vend deux de ses premières sculptures au collectionneur moscovite Ivan Morozov et conçoit son premier grand modèle sculpté. Ses préoccupations esthétiques sont alors motivées par la question du torse et du fragment, mais aussi par la sensualité du nu dont il renouvelle l’expression sous l’impulsion de Maillol.
Guino n’a que vingt-trois ans lorsque sa pratique virtuose de la sculpture le fait remarquer au point de devenir, de 1913 à 1917, le sculpteur de l’œuvre d’Auguste Renoir. La renommée du peintre est alors immense et, à l’initiative d’Ambroise Vollard, il accepte de concevoir des sculptures tirées de son répertoire peint qui sont produites en totale collaboration. Le caractère atypique de cette association, qui conjugue peinture et sculpture, devait avoir une incidence déterminante sur la carrière en devenir de Guino qui élargit dès 1919, ses centres d’intérêt aux arts décoratifs.
D’emblée, Richard Guino envisage une carrière d’artiste indépendant stimulée par la recherche d’une modernité dont il découvre le langage et qu’il accompagne de ses jeunes convictions. Cariatides, métopes et figures peuplent alors l’atelier qu’il choisit d’installer à Montparnasse, en plein cœur du Paris de l’avant-garde artistique. Par l’entremise du marchand d’art Ambroise Vollard, et dès 1913, il vend deux de ses premières sculptures au collectionneur moscovite Ivan Morozov et conçoit son premier grand modèle sculpté. Ses préoccupations esthétiques sont alors motivées par la question du torse et du fragment, mais aussi par la sensualité du nu dont il renouvelle l’expression sous l’impulsion de Maillol.
Guino n’a que vingt-trois ans lorsque sa pratique virtuose de la sculpture le fait remarquer au point de devenir, de 1913 à 1917, le sculpteur de l’œuvre d’Auguste Renoir. La renommée du peintre est alors immense et, à l’initiative d’Ambroise Vollard, il accepte de concevoir des sculptures tirées de son répertoire peint qui sont produites en totale collaboration. Le caractère atypique de cette association, qui conjugue peinture et sculpture, devait avoir une incidence déterminante sur la carrière en devenir de Guino qui élargit dès 1919, ses centres d’intérêt aux arts décoratifs.
D’emblée, Richard Guino envisage une carrière d’artiste indépendant stimulée par la recherche d’une modernité dont il découvre le langage et qu’il accompagne de ses jeunes convictions. Cariatides, métopes et figures peuplent alors l’atelier qu’il choisit d’installer à Montparnasse, en plein cœur du Paris de l’avant-garde artistique. Par l’entremise du marchand d’art Ambroise Vollard, et dès 1913, il vend deux de ses premières sculptures au collectionneur moscovite Ivan Morozov et conçoit son premier grand modèle sculpté. Ses préoccupations esthétiques sont alors motivées par la question du torse et du fragment, mais aussi par la sensualité du nu dont il renouvelle l’expression sous l’impulsion de Maillol.
Guino n’a que vingt-trois ans lorsque sa pratique virtuose de la sculpture le fait remarquer au point de devenir, de 1913 à 1917, le sculpteur de l’œuvre d’Auguste Renoir. La renommée du peintre est alors immense et, à l’initiative d’Ambroise Vollard, il accepte de concevoir des sculptures tirées de son répertoire peint qui sont produites en totale collaboration. Le caractère atypique de cette association, qui conjugue peinture et sculpture, devait avoir une incidence déterminante sur la carrière en devenir de Guino qui élargit dès 1919, ses centres d’intérêt aux arts décoratifs.