SAMUEL Aurélie.
A la cour du Prince Genji: Mille ans d'imaginaire japonais.
Gallimard
Prix régulier
€35,00
N° d'inventaire | 30125 |
Format | 19,5 x 27 |
Détails | 208 p., illustré, broché. |
Publication | Paris, 2023 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782072929670 |
Écrit au XIe siècle par la poétesse Murasaki Shikibu, Le Dit du Genji est considéré comme l’œuvre la plus représentative de la littérature classique du Japon. Cet ouvrage, évoquant les raffinements de la cour impériale à l’époque de Heian (794-1185) à travers l’épopée amoureuse du prince Hikaru Genji, témoigne d’une riche période artistique marquée par l’émergence d’une littérature féminine.
Peintres, poètes, calligraphes, céramistes, artisans et, à partir du XXe siècle, mangakas, tous ont été nourris par cette œuvre fondatrice pour la culture japonaise. Les rouleaux du Dit du Genji tissés par Maître Itarô Yamaguchi, pièces majeures de l’exposition, donnent à voir l’héritage du savoir-faire traditionnel et l’incroyable maîtrise technique du tisserand de Kyôto ; la précision des détails, les délicates variations de couleurs et les subtils effets de transparence invitent à plonger au cœur du roman, dans ce Japon ancien encore trop méconnu.
Peintres, poètes, calligraphes, céramistes, artisans et, à partir du XXe siècle, mangakas, tous ont été nourris par cette œuvre fondatrice pour la culture japonaise. Les rouleaux du Dit du Genji tissés par Maître Itarô Yamaguchi, pièces majeures de l’exposition, donnent à voir l’héritage du savoir-faire traditionnel et l’incroyable maîtrise technique du tisserand de Kyôto ; la précision des détails, les délicates variations de couleurs et les subtils effets de transparence invitent à plonger au cœur du roman, dans ce Japon ancien encore trop méconnu.
Peintres, poètes, calligraphes, céramistes, artisans et, à partir du XXe siècle, mangakas, tous ont été nourris par cette œuvre fondatrice pour la culture japonaise. Les rouleaux du Dit du Genji tissés par Maître Itarô Yamaguchi, pièces majeures de l’exposition, donnent à voir l’héritage du savoir-faire traditionnel et l’incroyable maîtrise technique du tisserand de Kyôto ; la précision des détails, les délicates variations de couleurs et les subtils effets de transparence invitent à plonger au cœur du roman, dans ce Japon ancien encore trop méconnu.