Fusco l'exilé.
Muzelle Céline, Anceau Manuel.

Fusco l'exilé.

Fage
Prix régulier €30,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 33445
Format 17 x 25
Détails 192 p., broché
Publication Paris, 2025
Etat Neuf
ISBN 9782849758045

S’il n’avait eu le dessin pour dernier langage, Sylvain Fusco, mort de faim à 37 ans dans un asile psychiatrique français pendant la Seconde Guerre mondiale, aurait pu disparaître dans les interstices de l’Histoire. Mais il laisse une œuvre puissante, indicible, qui parle et fascine encore.
Né dans les ombres d’un siècle en crise – cabarets de la nuit, bandes d’Apaches, bagnes coloniaux, asiles… Fusco a vécu dans les marges de l’Histoire. De ces zones liminaires est née une création incandescent et fulgurante : des milliers de figures féminines surgissent dans la nuit, dans une forme parallèle bouleversante, et habitée.
Son œuvre finit par intégrer la Collection de l’Art Brut, tout en échappant aux cadres. Fusco reste à la lisière de l’art « savant » et de l’art populaire, de l’institution et de l’art marginal, de la culture et de son affranchissement.
Une plongée dans l’univers d’un « exilé » – et dans ce que l’écart, parfois, révèle de plus brut.

S’il n’avait eu le dessin pour dernier langage, Sylvain Fusco, mort de faim à 37 ans dans un asile psychiatrique français pendant la Seconde Guerre mondiale, aurait pu disparaître dans les interstices de l’Histoire. Mais il laisse une œuvre puissante, indicible, qui parle et fascine encore.
Né dans les ombres d’un siècle en crise – cabarets de la nuit, bandes d’Apaches, bagnes coloniaux, asiles… Fusco a vécu dans les marges de l’Histoire. De ces zones liminaires est née une création incandescent et fulgurante : des milliers de figures féminines surgissent dans la nuit, dans une forme parallèle bouleversante, et habitée.
Son œuvre finit par intégrer la Collection de l’Art Brut, tout en échappant aux cadres. Fusco reste à la lisière de l’art « savant » et de l’art populaire, de l’institution et de l’art marginal, de la culture et de son affranchissement.
Une plongée dans l’univers d’un « exilé » – et dans ce que l’écart, parfois, révèle de plus brut.