Françoise Gilot, les années française.
Maïllis Annie, Wilson Sarah.

Françoise Gilot, les années française.

SilvanaEditoriale
Prix régulier €23,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 25185
Format 25 x 27 cm
Détails 119 p., cartonnage éditeur.
Publication Milan, 2021
Etat Neuf
ISBN 9788836647439

Les oeuvres des « années françaises » de Françoise Gilot révèlent l'archéologie d'une production mal connue en France : l'artiste avait osé quitter Picasso, dire sa vérité sur l'homme et s'expatrier, se coupant ainsi des galeries et de la critique aux ordres du génie.

« Je ne peins pas ce que je regarde mais ce qui me regarde » : la formule de Françoise Gilot résume une oeuvre tout entière placée sous le signe de la recherche de soi à travers ce que l'artiste peint, dessine ou grave, dans ses natures mortes comme dans ses portraits, dans le choix du figuratif comme de l'abstraction. De là, la multiplicité de ses approches dont une dynamique se dégage : elle porte l'artiste vers l'abstraction aux couleurs saturées, éclatantes, qui sera sa marque comme dans la série du Labyrinthe où Thésée, son alter ego mythique, se perd pour se retrouver.

Le mouvement international de revalorisation des artistes femmes dans lequel s'inscrit l'oeuvre de Françoise Gilot devrait redonner sa juste place à une artiste hors norme.

Les oeuvres des « années françaises » de Françoise Gilot révèlent l'archéologie d'une production mal connue en France : l'artiste avait osé quitter Picasso, dire sa vérité sur l'homme et s'expatrier, se coupant ainsi des galeries et de la critique aux ordres du génie.

« Je ne peins pas ce que je regarde mais ce qui me regarde » : la formule de Françoise Gilot résume une oeuvre tout entière placée sous le signe de la recherche de soi à travers ce que l'artiste peint, dessine ou grave, dans ses natures mortes comme dans ses portraits, dans le choix du figuratif comme de l'abstraction. De là, la multiplicité de ses approches dont une dynamique se dégage : elle porte l'artiste vers l'abstraction aux couleurs saturées, éclatantes, qui sera sa marque comme dans la série du Labyrinthe où Thésée, son alter ego mythique, se perd pour se retrouver.

Le mouvement international de revalorisation des artistes femmes dans lequel s'inscrit l'oeuvre de Françoise Gilot devrait redonner sa juste place à une artiste hors norme.