Femmes années 50. Au fil de l'abstraction, peinture et sculpture.
Catalogue de l’exposition au Musée Soulages à Rodez du 14 décembre 2019 au 10 mai 2020.

Femmes années 50. Au fil de l'abstraction, peinture et sculpture.

Hazan
Prix régulier €35,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 22389
Format 24 x 28
Détails 224 p., broché à rabats.
Publication Paris, 2019
Etat Neuf
ISBN 9782754111270

Cette exposition présente des femmes artistes, peintres, graveuses, sculptrices à Paris dans cette décennie féconde où elles œuvrent en nombre. Certaines sont attachées à de grandes figures : Sophie Taueber-Arp et Sonia Delaunay ; d’autres sont impliquées dans l’âge adulte de la peinture : Christine Boumeester, Maria HelenaVieira da Silva, Judit Reigl, Marie Raymond ; d’autres encore viennent juste d’arriver : Pierrette Bloch, Anna Mark, Liliane Klapisch… Elles exercent, mais en ordre dispersé, une force agissante, décuplée par la critique et les galeristes. Elles oscillent entre l’art concret et l’abstraction lyrique. Malgré un déficit de reconnaissance, elles tracent une route dans ce qu’on appelle commodément l’École de Paris. Si elles adhèrent à ce mouvement, c’est souvent pour en déborder. Cet ouvrage retrace leur histoire, des pionnières aux jeunes pousses, qui vont pied à pied s’affranchir des canons masculins et, dès la fin des années 1960, provoquer l’irruption de thèmes proprement féminins.

Cette exposition présente des femmes artistes, peintres, graveuses, sculptrices à Paris dans cette décennie féconde où elles œuvrent en nombre. Certaines sont attachées à de grandes figures : Sophie Taueber-Arp et Sonia Delaunay ; d’autres sont impliquées dans l’âge adulte de la peinture : Christine Boumeester, Maria HelenaVieira da Silva, Judit Reigl, Marie Raymond ; d’autres encore viennent juste d’arriver : Pierrette Bloch, Anna Mark, Liliane Klapisch… Elles exercent, mais en ordre dispersé, une force agissante, décuplée par la critique et les galeristes. Elles oscillent entre l’art concret et l’abstraction lyrique. Malgré un déficit de reconnaissance, elles tracent une route dans ce qu’on appelle commodément l’École de Paris. Si elles adhèrent à ce mouvement, c’est souvent pour en déborder. Cet ouvrage retrace leur histoire, des pionnières aux jeunes pousses, qui vont pied à pied s’affranchir des canons masculins et, dès la fin des années 1960, provoquer l’irruption de thèmes proprement féminins.