DHENNIN Sylvain.
Mefkat et la déesse Hathor, topographie et religion dans la IIIe province de Basse Égypte. MIFAO 146.
IFAO
Prix régulier
€49,00
N° d'inventaire | 25908 |
Format | |
Détails | 240 p., cartonnage éditeur. |
Publication | Le Caire, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782724708431 |
Depuis les travaux de Jean Yoyotte dans les années 1980, il était apparu qu’une reprise du dossier de Mefkat, ville du delta occidental, était nécessaire, qui inclurait notamment une nouvelle édition du Rituel de Mefky (bloc Caire Musée égyptien JE 45936). Les informations portées par ce fragment de naos permettent de revenir sur la géographie locale et les lieux mis à contribution dans le Rituel, mais aussi de préciser différents aspects de la théologie de Mefkat. La figure d’Hathor qui y était vénérée, associée à un Osiris et à un Harsomtous dans une triade d’inspiration osirienne, possédait une forte connotation bovine. Qualifiée de ba d’Isis, de brillante ou de Dorée, Hathor de Mefkat était une vache maternelle, une déesse dont la tête coupée par Horus fut remplacée par un mufle de vache, à l’image d’Isis dans le récit de l’affrontement entre Horus et Seth. Ce mythe étiologique se trouve en outre, avec quelques adaptations mineures, dans d’autres sanctuaires d’Hathor de Mefkat, que l’on peut identifier dans le nord de la Haute Égypte et dans le delta oriental.
Cette monographie est la version remaniée d’une thèse de doctorat soutenue à l’université de Lille en 2009. Elle présente une nouvelle traduction et un commentaire du Rituel de Mefky, puis propose de revenir sur le toponyme, son origine et sa localisation, avant d’analyser les différentes facettes de la religion locale.
Cette monographie est la version remaniée d’une thèse de doctorat soutenue à l’université de Lille en 2009. Elle présente une nouvelle traduction et un commentaire du Rituel de Mefky, puis propose de revenir sur le toponyme, son origine et sa localisation, avant d’analyser les différentes facettes de la religion locale.
Cette monographie est la version remaniée d’une thèse de doctorat soutenue à l’université de Lille en 2009. Elle présente une nouvelle traduction et un commentaire du Rituel de Mefky, puis propose de revenir sur le toponyme, son origine et sa localisation, avant d’analyser les différentes facettes de la religion locale.