Dragons. Cracheurs de feu.
RIOUST Laure.

Dragons. Cracheurs de feu.

BNF
Prix régulier €6,90 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 23785
Format 12 x 17
Détails 48 p., broché.
Publication Paris, 2021
Etat Neuf
ISBN 9782717728545

Créature reptilienne et volante dotée de pouvoirs redoutables, le dragon est inscrit dans l'imaginaire depuis des millénaires. Emblématique du bestiaire fantastique, il peuple les récits fabuleux et constitue une source de représentations exubérantes.

La plupart des mythologies, mésopotamienne, égyptienne ou grecque, déclinent l'image du dragon sous d'innombrables appellations, à la fois dieux des ténèbres, déesses des océans ou serpents à plusieurs têtes, gardiens d'un trésor...
Ces représentations ont souvent été confortées par les témoignages de voyageurs ou d'érudits européens découvrant des sauriens inconnus. Marco Polo parle lui-même de serpents terrifiants au large du Yunnan...
Au Japon, le dragon veille sur les richesses et les demeures tandis qu'en Chine, il véhicule une symbolique fédératrice qui fait de lui l'emblème sacré du pouvoir impérial.
Les peuples occidentaux, à l'inverse, voient dans le dragon une figure du chaos, Le livre de l'Apocalypse décrit par exemple un immense dragon rouge feu, doté de sept têtes et de dix cornes, qui menace l'Église et égare les hommes.
Mais le dragon peut aussi se libérer d'une représentation univoquement maléfique. Mélusine, parée de sa queue de serpent, ne se révèle-t-elle pas épouse vertueuse et mère protectrice ?

Créature reptilienne et volante dotée de pouvoirs redoutables, le dragon est inscrit dans l'imaginaire depuis des millénaires. Emblématique du bestiaire fantastique, il peuple les récits fabuleux et constitue une source de représentations exubérantes.

La plupart des mythologies, mésopotamienne, égyptienne ou grecque, déclinent l'image du dragon sous d'innombrables appellations, à la fois dieux des ténèbres, déesses des océans ou serpents à plusieurs têtes, gardiens d'un trésor...
Ces représentations ont souvent été confortées par les témoignages de voyageurs ou d'érudits européens découvrant des sauriens inconnus. Marco Polo parle lui-même de serpents terrifiants au large du Yunnan...
Au Japon, le dragon veille sur les richesses et les demeures tandis qu'en Chine, il véhicule une symbolique fédératrice qui fait de lui l'emblème sacré du pouvoir impérial.
Les peuples occidentaux, à l'inverse, voient dans le dragon une figure du chaos, Le livre de l'Apocalypse décrit par exemple un immense dragon rouge feu, doté de sept têtes et de dix cornes, qui menace l'Église et égare les hommes.
Mais le dragon peut aussi se libérer d'une représentation univoquement maléfique. Mélusine, parée de sa queue de serpent, ne se révèle-t-elle pas épouse vertueuse et mère protectrice ?