Dictionnaire culturel des sciences. Art, littérature, cinéma, sociologie, mythe, politique, histoire, humour, religion, éthique, économie, poésie, vulgarisation.
SeuilN° d'inventaire | 23144 |
Format | 24 x 31,5 |
Détails | 440 p., relié sous jaquette. |
Publication | Paris, 2001 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782841051281 |
Ceci n'est pas un dictionnaire des sciences. C'est un «dictionnaire«, certes, mais qui commence avec absinthe et finit à Zoroastre... Et s'il y est bien question de «science«, ce n'est surtout pas celle des Scientifiques et des manuels scolaires ou universitaires, celle qu'il faut vulgariser au prétexte qu'elle serait inaccessible. Ceci est un recueil d'un bon millier d'articles, résultat de 97 regards croisés sur ce qui, dans la science, son histoire, ses personnages, ses lieux, ses idées - et surtout autour d'elle, dans ses contacts avec l'art, la littérature, l'économie, la politique ou la religion, a paru susceptible d'intéresser l'Homo sapiens sapiens du XXIe siècle. La plus totale liberté de ton est ici mise au service d'une recherche assidue de la clarté. Tout jargon, masque ordinaire de l'incompréhension, a été impitoyablement chassé, au même titre que ces figures de style signifiant qu'un savant s'adresse, du cœur de la Science, à un ignorant avide de savoir. Les sciences (toutes ou presque, et pas seulement occidentales) sont ici envisagées, non pas de l'intérieur comme c'est la coutume, mais de l'extérieur, depuis ces lieux où, au contact des autres domaines du savoir et de la culture, elles prennent tout leur sens. Le Big Bang de la cosmologie et l'ADN de nos cellules sont bien là, mais la poésie et l'alchimie ont aussi leur place ; les mathématiques et la biologie moléculaire, mais aussi le mesmérisme et les anges. Avec en prime l'utilité et la subtilité, la beauté et l'ignorance, nombre de personnages inattendus et quelques dizaines d'images emblématiques de la science : la raison, fut-elle scientifique, ne peut se passer de l'imaginaire, ni la science de sa fiction. C'est à renouer les liens perdus entre les sciences et la culture que se consacre cet ouvrage, dans l'espoir un peu fou mais essentiel de voir la science, aujourd'hui gravement coupée de ce qui devrait être «son« public, c'est-à-dire chacun de nous, devenir plus intelligible. N. W.
Ceci n'est pas un dictionnaire des sciences. C'est un «dictionnaire«, certes, mais qui commence avec absinthe et finit à Zoroastre... Et s'il y est bien question de «science«, ce n'est surtout pas celle des Scientifiques et des manuels scolaires ou universitaires, celle qu'il faut vulgariser au prétexte qu'elle serait inaccessible. Ceci est un recueil d'un bon millier d'articles, résultat de 97 regards croisés sur ce qui, dans la science, son histoire, ses personnages, ses lieux, ses idées - et surtout autour d'elle, dans ses contacts avec l'art, la littérature, l'économie, la politique ou la religion, a paru susceptible d'intéresser l'Homo sapiens sapiens du XXIe siècle. La plus totale liberté de ton est ici mise au service d'une recherche assidue de la clarté. Tout jargon, masque ordinaire de l'incompréhension, a été impitoyablement chassé, au même titre que ces figures de style signifiant qu'un savant s'adresse, du cœur de la Science, à un ignorant avide de savoir. Les sciences (toutes ou presque, et pas seulement occidentales) sont ici envisagées, non pas de l'intérieur comme c'est la coutume, mais de l'extérieur, depuis ces lieux où, au contact des autres domaines du savoir et de la culture, elles prennent tout leur sens. Le Big Bang de la cosmologie et l'ADN de nos cellules sont bien là, mais la poésie et l'alchimie ont aussi leur place ; les mathématiques et la biologie moléculaire, mais aussi le mesmérisme et les anges. Avec en prime l'utilité et la subtilité, la beauté et l'ignorance, nombre de personnages inattendus et quelques dizaines d'images emblématiques de la science : la raison, fut-elle scientifique, ne peut se passer de l'imaginaire, ni la science de sa fiction. C'est à renouer les liens perdus entre les sciences et la culture que se consacre cet ouvrage, dans l'espoir un peu fou mais essentiel de voir la science, aujourd'hui gravement coupée de ce qui devrait être «son« public, c'est-à-dire chacun de nous, devenir plus intelligible. N. W.