ALBERTI Leon Battista.
De pictura.
Allia
Prix régulier
€10,00
N° d'inventaire | 26282 |
Format | 17 x 22 |
Détails | 94 p., illustrations noir et blanc, broché avec rabats. |
Publication | Paris, 2019 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9791030410778 |
Il existe plusieurs versions du De pictura. Rédigé d’abord en toscan en 1435, Alberti le reprit et l’améliora entre 1439 et 1441 lorsqu’il le traduisit en latin. C’est cette version, la plus complète, que nous donnons ici, accompagnée d’un appareil critique et d’une iconographie qui rendent justice à ce traité qui, depuis plus de cinq siècles constitue une référence majeure de la réflexion esthétique.
Avec le De pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l’esprit rationaliste dans l’esthétique, marque la sortie de l’ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jamais Alberti ne perd de vue que la fin de la peinture est avant tout la délectation individuelle.
Avec le De pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l’esprit rationaliste dans l’esthétique, marque la sortie de l’ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jamais Alberti ne perd de vue que la fin de la peinture est avant tout la délectation individuelle.
Avec le De pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l’esprit rationaliste dans l’esthétique, marque la sortie de l’ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jamais Alberti ne perd de vue que la fin de la peinture est avant tout la délectation individuelle.