Daniel Hourdé. La passerelle enchantée.
HOURDÉ Daniel, NOGUEZ Dominique (préface).

Daniel Hourdé. La passerelle enchantée.

Somogy
Prix régulier €29,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 20749
Format 24,3 x 30
Détails 128 p., relié.
Publication Paris, 2017
Etat Neuf
ISBN 9782757212875

Daniel Hourdé, sculpteur français. «Un jour, à Paris, les habitants de Saint-Germain-des-Prés se réveillèrent avec une statue de Satan devant leur église et deux anges flanquant la statue du révolutionnaire Condorcet près de l'Institut. Daniel Hourdé venait de frapper.« «L'art - un art vif, libre, durable, dantesque - venait de frapper. Cinq ans plus tard, il récidive en mode majeur, cette fois au beau milieu de la Seine. Les 155 mètres du pont des Arts vont devenir pendant plusieurs semaines en mai-juin 2016 une «passerelle enchantée«. Constatant que la liberté en art de nos jours n'est plus une aventure, Daniel Hourdé prend le parti de revenir à une technique et un matériau traditionnel, le bronze à la cire perdue, ainsi qu'au réalisme, celui-ci étant le meilleur moyen de donner plus de corps et par là, plus d'âme à ses personnages, même si cet apparent classicisme est la plupart du temps détourné par la dérision ou l'ironie.

Daniel Hourdé, sculpteur français. «Un jour, à Paris, les habitants de Saint-Germain-des-Prés se réveillèrent avec une statue de Satan devant leur église et deux anges flanquant la statue du révolutionnaire Condorcet près de l'Institut. Daniel Hourdé venait de frapper.« «L'art - un art vif, libre, durable, dantesque - venait de frapper. Cinq ans plus tard, il récidive en mode majeur, cette fois au beau milieu de la Seine. Les 155 mètres du pont des Arts vont devenir pendant plusieurs semaines en mai-juin 2016 une «passerelle enchantée«. Constatant que la liberté en art de nos jours n'est plus une aventure, Daniel Hourdé prend le parti de revenir à une technique et un matériau traditionnel, le bronze à la cire perdue, ainsi qu'au réalisme, celui-ci étant le meilleur moyen de donner plus de corps et par là, plus d'âme à ses personnages, même si cet apparent classicisme est la plupart du temps détourné par la dérision ou l'ironie.