Comment regarder...les couleurs dans la peinture.
GIVRY Hélène de, CHARNAY Yves.

Comment regarder...les couleurs dans la peinture.

Hazan
Prix régulier €24,90 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 15082
Format 13,5 x 20
Détails 335 p., très nombreuses illustrations couleur, broché.
Publication Paris, 2011
Etat Neuf
ISBN 9782754110228

Collection «Guide des arts«. Véritable encyclopédie de la couleur mais aussi histoire de son usage dans la peinture, l’ouvrage commence par passer en revue les méthodes selon lesquelles l’homme a essayé de mesurer la couleur, ses tonalités, son intensité, les systèmes à l’aide desquels il a cherché à définir sa nature et la manière dont on la perçoit, de Newton à Chevreul. Sont abordés ensuite, exemples et commentaires à l’appui, la nature et l’usage des différents pigments, à travers l’histoire, les techniques picturales usant de la couleur, les symboles qu’on lui a attribués en Occident. Une large place est réservée aux principaux mouvements ou écoles artistiques qui en ont tiré un usage particulier, du luminisme vénitien au XVIe siècle aux applications quasi monochromes du « color-field painting de l’abstraction américaine des années 50 ou encore au cinétisme de l’op’art, dans les années 60, qui joue des ressources de la perception rétinienne.

Collection «Guide des arts«. Véritable encyclopédie de la couleur mais aussi histoire de son usage dans la peinture, l’ouvrage commence par passer en revue les méthodes selon lesquelles l’homme a essayé de mesurer la couleur, ses tonalités, son intensité, les systèmes à l’aide desquels il a cherché à définir sa nature et la manière dont on la perçoit, de Newton à Chevreul. Sont abordés ensuite, exemples et commentaires à l’appui, la nature et l’usage des différents pigments, à travers l’histoire, les techniques picturales usant de la couleur, les symboles qu’on lui a attribués en Occident. Une large place est réservée aux principaux mouvements ou écoles artistiques qui en ont tiré un usage particulier, du luminisme vénitien au XVIe siècle aux applications quasi monochromes du « color-field painting de l’abstraction américaine des années 50 ou encore au cinétisme de l’op’art, dans les années 60, qui joue des ressources de la perception rétinienne.