Comment regarder les arts d'Afrique.
HazanN° d'inventaire | 25714 |
Format | 13,5 x 20 |
Détails | 384 p., nombreuses illustrations couleur, broché. |
Publication | Paris, 2017 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782754110051 |
Collection "Les guides Hazan".
Les guides des Arts deviennent les guides Hazan !
Traitant de l’art africain à l’échelle du continent noir dans sa variété et ses spécificités, et selon l’esprit de la collection « Guide des arts », ce livre vous convie à un voyage en quatre étapes.
Dans une première partie retraçant les grandes périodes des civilisations africaines, on découvre que ces arts remontent parfois à des millénaires, telles ces terres cuites exhumées du Malie ou du Nigéria.
En deuxième lieu, on réalise qu’en Afrique, les arts dits « mineurs » ont souvent créé les conditions d’un art majeur, et qu’il est juste de mettre sur le même pied objets rituels et usuels, puisque des pièces qualifiées d’utilitaires en Occident, ont, en Afrique, une dimension rituelle, et que les créations apparemment les plus humbles sont souvent les plus fortes sur le plan esthétique.
Une troisième partie dégage les grandes catégories de décors et de formes stylistiques à partir d’œuvres-phares, pour montrer que ces objets jouent de multiples rôles, des plus sacrés aux plus profanes.
Enfin, il s’agira d’accomplir un immense périple géographique, pour découvrir que la création africaine est immensément variée, et que, peut-être plus qu’en Occident, les solutions plastiques ont été innombrables et à chaque fois inattendues suivant les aires géo-culturelles.
Collection "Les guides Hazan".
Les guides des Arts deviennent les guides Hazan !
Traitant de l’art africain à l’échelle du continent noir dans sa variété et ses spécificités, et selon l’esprit de la collection « Guide des arts », ce livre vous convie à un voyage en quatre étapes.
Dans une première partie retraçant les grandes périodes des civilisations africaines, on découvre que ces arts remontent parfois à des millénaires, telles ces terres cuites exhumées du Malie ou du Nigéria.
En deuxième lieu, on réalise qu’en Afrique, les arts dits « mineurs » ont souvent créé les conditions d’un art majeur, et qu’il est juste de mettre sur le même pied objets rituels et usuels, puisque des pièces qualifiées d’utilitaires en Occident, ont, en Afrique, une dimension rituelle, et que les créations apparemment les plus humbles sont souvent les plus fortes sur le plan esthétique.
Une troisième partie dégage les grandes catégories de décors et de formes stylistiques à partir d’œuvres-phares, pour montrer que ces objets jouent de multiples rôles, des plus sacrés aux plus profanes.
Enfin, il s’agira d’accomplir un immense périple géographique, pour découvrir que la création africaine est immensément variée, et que, peut-être plus qu’en Occident, les solutions plastiques ont été innombrables et à chaque fois inattendues suivant les aires géo-culturelles.