Colette Brunschwig. Peindre l’ultime espace.
Manuella éditionsN° d'inventaire | 23400 |
Format | 21 x 32 |
Détails | 272 p., 121 ill. Couleur, 147 ill. N/B, broché. |
Publication | Paris, 2021 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782490505005 |
Née en 1927 au Havre, Colette Brunschwig vit et travaille à Paris. Formée après-guerre à l’Académie Julian, puis, entre 1946 et 1949, chez Jean Sourbevie et André Lhote dont les ateliers sont intégrés à l’École des Beaux-Arts de Paris, Colette Brunschwig présente sa première exposition personnelle en 1952 à la galerie Colette Allendy. Elle y exposera régulièrement, jusqu’à la fin des années 1950, peintures et gouaches, alliant recherches formelles du trait, de la compression et de l’expansion de la matière picturale et de l’encre, et motifs abstraits, exploration d’un espace-surface dynamique, qui la rapproche des artistes de sa génération de l’École de Paris, mais dont, pourtant, elle se singularise.
En dialogue direct ou indirect avec Pierre Soulages, Nicolas de Staël, Arpad Szenes, André Marfaing, Yves Klein, Ung-No Lee, Pierrette Bloch, Marcelle Cahn, entre autres, proche également du philosophe Emmanuel Levinas, Colette Brunschwig s’inscrit très vite sur la scène artistique et intellectuelle française des années 1950-1960, et au-delà.
Si Colette Brunschwig compte jusqu’à aujourd’hui de nombreuses expositions personnelles en galeries (Nane Stern dans les années 1970, galerie Clivages dans les années 1980-1990, etc.) et dans des lieux d’art en France et à l’étranger, si ses œuvres sur papier et acryliques sont entrées dans les collections publiques (Musée d’art moderne de la Ville de Paris, FNAC), aucune monographie n’est venue, à ce jour, rendre compte de la richesse formelle de cette œuvre singulière (et reconnue par la critique), qui pose la question de la dissolution de l’image et d’un possible recommencement.
Née en 1927 au Havre, Colette Brunschwig vit et travaille à Paris. Formée après-guerre à l’Académie Julian, puis, entre 1946 et 1949, chez Jean Sourbevie et André Lhote dont les ateliers sont intégrés à l’École des Beaux-Arts de Paris, Colette Brunschwig présente sa première exposition personnelle en 1952 à la galerie Colette Allendy. Elle y exposera régulièrement, jusqu’à la fin des années 1950, peintures et gouaches, alliant recherches formelles du trait, de la compression et de l’expansion de la matière picturale et de l’encre, et motifs abstraits, exploration d’un espace-surface dynamique, qui la rapproche des artistes de sa génération de l’École de Paris, mais dont, pourtant, elle se singularise.
En dialogue direct ou indirect avec Pierre Soulages, Nicolas de Staël, Arpad Szenes, André Marfaing, Yves Klein, Ung-No Lee, Pierrette Bloch, Marcelle Cahn, entre autres, proche également du philosophe Emmanuel Levinas, Colette Brunschwig s’inscrit très vite sur la scène artistique et intellectuelle française des années 1950-1960, et au-delà.
Si Colette Brunschwig compte jusqu’à aujourd’hui de nombreuses expositions personnelles en galeries (Nane Stern dans les années 1970, galerie Clivages dans les années 1980-1990, etc.) et dans des lieux d’art en France et à l’étranger, si ses œuvres sur papier et acryliques sont entrées dans les collections publiques (Musée d’art moderne de la Ville de Paris, FNAC), aucune monographie n’est venue, à ce jour, rendre compte de la richesse formelle de cette œuvre singulière (et reconnue par la critique), qui pose la question de la dissolution de l’image et d’un possible recommencement.