ROUSSET Marie-Odile.
CHALCIS/QINNASRIN (SYRIE) De l’âge du Bronze à l’époque mamelouke. Qinnasrin II.
Mom Editions
Prix régulier
€65,00
N° d'inventaire | 26472 |
Format | 21 x 30 |
Détails | 508 p., illustré, broché. |
Publication | Lyon, 2021 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782356681676 |
La mission archéologique syro-française de Qinnasrin a mené ses travaux de 2008 à 2010 sur le site d’al-‘Iss (Syrie du Nord, région d’Alep), dans l’ensemble du bourg et dans ses environs immédiats, grâce aux financements de la Commission des fouilles du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, de la Fondation Max van Berchem, du CNRS et de la Direction générale des Antiquités et Musées de Syrie.
Attestée depuis la fin du IIIe millénaire avant notre ère, Qinnasrin est un nœud routier et militaire important, qui domine une plaine fertile, aux confins de la steppe et des zones d’agriculture irriguée. Renommée Chalcis par les Grecs, elle est, à l’époque romaine, le siège d’une royauté et frappe monnaie. Elle joue un rôle essentiel dans le système de fortification de la Syrie du Nord mis en place par Justinien face aux Perses, puis lors de la conquête de la Syrie du Nord par les armées de l’islam. Étroitement liée à Alep, elle décline, à son profit, à partir du milieu du xe siècle et tombe dans l’oubli vers le xive siècle.
Cet ouvrage dresse un état des lieux et une synthèse des sources textuelles et archéologiques. Il présente la documentation constituée par les prospections pédestre et géophysique, les premières fouilles archéologiques jamais menées sur le site, l’inventaire des blocs architecturaux et la collecte de matériel. Plusieurs découvertes permettent de rendre compte de l’importance acquise par la ville, tant aux périodes les plus anciennes qu’aux époques grecque, romaine ou islamique. Pour la première fois, un scénario de l’évolution morphologique de la ville et de ses transformations est proposé. Ce second volume de la série consacrée à Qinnasrin livre un portrait inédit d’un site remarquable et largement méconnu.
Attestée depuis la fin du IIIe millénaire avant notre ère, Qinnasrin est un nœud routier et militaire important, qui domine une plaine fertile, aux confins de la steppe et des zones d’agriculture irriguée. Renommée Chalcis par les Grecs, elle est, à l’époque romaine, le siège d’une royauté et frappe monnaie. Elle joue un rôle essentiel dans le système de fortification de la Syrie du Nord mis en place par Justinien face aux Perses, puis lors de la conquête de la Syrie du Nord par les armées de l’islam. Étroitement liée à Alep, elle décline, à son profit, à partir du milieu du xe siècle et tombe dans l’oubli vers le xive siècle.
Cet ouvrage dresse un état des lieux et une synthèse des sources textuelles et archéologiques. Il présente la documentation constituée par les prospections pédestre et géophysique, les premières fouilles archéologiques jamais menées sur le site, l’inventaire des blocs architecturaux et la collecte de matériel. Plusieurs découvertes permettent de rendre compte de l’importance acquise par la ville, tant aux périodes les plus anciennes qu’aux époques grecque, romaine ou islamique. Pour la première fois, un scénario de l’évolution morphologique de la ville et de ses transformations est proposé. Ce second volume de la série consacrée à Qinnasrin livre un portrait inédit d’un site remarquable et largement méconnu.
Attestée depuis la fin du IIIe millénaire avant notre ère, Qinnasrin est un nœud routier et militaire important, qui domine une plaine fertile, aux confins de la steppe et des zones d’agriculture irriguée. Renommée Chalcis par les Grecs, elle est, à l’époque romaine, le siège d’une royauté et frappe monnaie. Elle joue un rôle essentiel dans le système de fortification de la Syrie du Nord mis en place par Justinien face aux Perses, puis lors de la conquête de la Syrie du Nord par les armées de l’islam. Étroitement liée à Alep, elle décline, à son profit, à partir du milieu du xe siècle et tombe dans l’oubli vers le xive siècle.
Cet ouvrage dresse un état des lieux et une synthèse des sources textuelles et archéologiques. Il présente la documentation constituée par les prospections pédestre et géophysique, les premières fouilles archéologiques jamais menées sur le site, l’inventaire des blocs architecturaux et la collecte de matériel. Plusieurs découvertes permettent de rendre compte de l’importance acquise par la ville, tant aux périodes les plus anciennes qu’aux époques grecque, romaine ou islamique. Pour la première fois, un scénario de l’évolution morphologique de la ville et de ses transformations est proposé. Ce second volume de la série consacrée à Qinnasrin livre un portrait inédit d’un site remarquable et largement méconnu.