Caylus, mécène du roi: Collectionner les antiquités au XVIIIe siècle.
INHAN° d'inventaire | 31083 |
Format | 24 x 16 |
Détails | 159 p., 96 objets catalogués, 6 fig., 2 pl., broché. |
Publication | Paris, 2002 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782951930704 |
Grâce à cette première exposition et à ce catalogue, le nom de Caylus sera de nouveau prononcé dans le quartier même et dans les murs où il est devenu sous Louis XV une autorité et une célébrité européenne. Le public cultivé va pouvoir découvrir sous ce nom les nombreuses facettes du personnage, l'un des plus caractéristiques du premier XVIIIe siècle parisien : son abondante production littéraire d'écrivain de voyage et de journaux intimes, de dramaturge, de traducteur, de romancier, de conteur, d'homme de conversation et de société, mais aussi ses multiples curiosités de « virtuose » et de mécène, graveur, érudit, antiquaire, critique et promoteur des arts, l'homme d'action enfin, qui créa un réseau personnel de correspondants dans toute l'Europe dont il se servit pour placer les œuvres des artistes qu'il protégeait ou les faire engager eux-mêmes dans une cour étrangère, tandis qu'il manœuvrait dextrement et résolument le système royal des Académies pour faire prévaloir ses vues sur les arts français [...].
Grâce à cette première exposition et à ce catalogue, le nom de Caylus sera de nouveau prononcé dans le quartier même et dans les murs où il est devenu sous Louis XV une autorité et une célébrité européenne. Le public cultivé va pouvoir découvrir sous ce nom les nombreuses facettes du personnage, l'un des plus caractéristiques du premier XVIIIe siècle parisien : son abondante production littéraire d'écrivain de voyage et de journaux intimes, de dramaturge, de traducteur, de romancier, de conteur, d'homme de conversation et de société, mais aussi ses multiples curiosités de « virtuose » et de mécène, graveur, érudit, antiquaire, critique et promoteur des arts, l'homme d'action enfin, qui créa un réseau personnel de correspondants dans toute l'Europe dont il se servit pour placer les œuvres des artistes qu'il protégeait ou les faire engager eux-mêmes dans une cour étrangère, tandis qu'il manœuvrait dextrement et résolument le système royal des Académies pour faire prévaloir ses vues sur les arts français [...].