BETTINELLI Claire, DONG-SOO Park, DEBAILLEUX Henri-François.
Carte blanche à Park Dong-Soo.
RMN / MNAAG
Prix régulier
€10,00
N° d'inventaire | 28288 |
Format | 17 x 24 |
Détails | 47 p., illustré, broché. |
Publication | Paris, 2023 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782711879830 |
Pour sa dix-septième « Carte blanche » à un artiste contemporain, le musée Guimet invite Park Dong-Soo à s'approprier la rotonde du quatrième étage.
Après Lee Bae, Kim Chong-Hak et Min Jung-Yeon, il est le quatrième plasticien coréen à faire geste et à convier le visiteur à entrer dans son univers empreint du dansaekhwa, la peinture monochrome coréenne.
Intitulée Cette place-là, son installation est une ode à la tradition coréenne de l'usage de l'encre noire et du papier hanji. Ces deux matériaux sont utilisés comme vecteur d'une proposition qui a pour thème autant la naissance
de l'univers que sa disparition, avec pour point commun l'explosion, aussi bien primitive que destructrice. L'ajout de matière sous le papier mûrier permet à Park Dong-Soo de créer la profondeur dans son monochrome noir, d'inventer
l'espace qui nous absorbe, à la découverte d'un espace-temps dérangeant et poétique tout différent du nôtre, dans un travail résolument coréen intégrant la voie méditative à sa peinture. L'artiste joue de la désorientation procurée par la fragmentation de ses œuvres et il fait de la rotonde la matrice originelle de sa création, une forme de cocon salvateur.
L'ouvrage donne à voir les étapes de conception de cette installation via des photographies et des croquis ainsi que des portraits de l'artiste au travail.
Après Lee Bae, Kim Chong-Hak et Min Jung-Yeon, il est le quatrième plasticien coréen à faire geste et à convier le visiteur à entrer dans son univers empreint du dansaekhwa, la peinture monochrome coréenne.
Intitulée Cette place-là, son installation est une ode à la tradition coréenne de l'usage de l'encre noire et du papier hanji. Ces deux matériaux sont utilisés comme vecteur d'une proposition qui a pour thème autant la naissance
de l'univers que sa disparition, avec pour point commun l'explosion, aussi bien primitive que destructrice. L'ajout de matière sous le papier mûrier permet à Park Dong-Soo de créer la profondeur dans son monochrome noir, d'inventer
l'espace qui nous absorbe, à la découverte d'un espace-temps dérangeant et poétique tout différent du nôtre, dans un travail résolument coréen intégrant la voie méditative à sa peinture. L'artiste joue de la désorientation procurée par la fragmentation de ses œuvres et il fait de la rotonde la matrice originelle de sa création, une forme de cocon salvateur.
L'ouvrage donne à voir les étapes de conception de cette installation via des photographies et des croquis ainsi que des portraits de l'artiste au travail.
Après Lee Bae, Kim Chong-Hak et Min Jung-Yeon, il est le quatrième plasticien coréen à faire geste et à convier le visiteur à entrer dans son univers empreint du dansaekhwa, la peinture monochrome coréenne.
Intitulée Cette place-là, son installation est une ode à la tradition coréenne de l'usage de l'encre noire et du papier hanji. Ces deux matériaux sont utilisés comme vecteur d'une proposition qui a pour thème autant la naissance
de l'univers que sa disparition, avec pour point commun l'explosion, aussi bien primitive que destructrice. L'ajout de matière sous le papier mûrier permet à Park Dong-Soo de créer la profondeur dans son monochrome noir, d'inventer
l'espace qui nous absorbe, à la découverte d'un espace-temps dérangeant et poétique tout différent du nôtre, dans un travail résolument coréen intégrant la voie méditative à sa peinture. L'artiste joue de la désorientation procurée par la fragmentation de ses œuvres et il fait de la rotonde la matrice originelle de sa création, une forme de cocon salvateur.
L'ouvrage donne à voir les étapes de conception de cette installation via des photographies et des croquis ainsi que des portraits de l'artiste au travail.