Carnet de Londres cover image
MAZZETTI Lorenza.

Carnet de Londres

La Baconnière
Prix régulier €19,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 31897
Format 14 x 21
Détails 147 p., nombreuses figures N/B, broché.
Publication Chene-Bourg, 2025
Etat Neuf
ISBN 9782889601608

Après une enfance et une adolescence marquées par le fascisme et le nazisme, Lorenza Mazzetti s’exile à Londres. Elle finit rapidement son petit pécule, frappe à la porte de la Slade School of Fine Art et en gagne l’entrée au culot. Elle y vole le matériel nécessaire pour filmer une adaptation de La Métamorphose de Kafka (alors très peu connu) et attire l’attention des milieux artistiques. Audace, force et courage portent cette jeune fille traumatisée au faîte de la création anglaise.Lorenza Mazzetti participe à l’histoire du cinéma anglais aux côtés de Lindsay Anderson, Karel Reisz et Tony Richardson; ils lancent, en 1956, le Free Cinema, mouvement contestataire qui revendique une liberté de montage et de sujets. Cette expérience ouvrira la voie aux Angry Young Men.Carnet de Londres se présente sous la forme d’un journal qui traite avec sincérité et humour à la fois des détails tragi-comiques de sa vie et ses relations avec la première avant-garde européenne du cinéma.

Après une enfance et une adolescence marquées par le fascisme et le nazisme, Lorenza Mazzetti s’exile à Londres. Elle finit rapidement son petit pécule, frappe à la porte de la Slade School of Fine Art et en gagne l’entrée au culot. Elle y vole le matériel nécessaire pour filmer une adaptation de La Métamorphose de Kafka (alors très peu connu) et attire l’attention des milieux artistiques. Audace, force et courage portent cette jeune fille traumatisée au faîte de la création anglaise.Lorenza Mazzetti participe à l’histoire du cinéma anglais aux côtés de Lindsay Anderson, Karel Reisz et Tony Richardson; ils lancent, en 1956, le Free Cinema, mouvement contestataire qui revendique une liberté de montage et de sujets. Cette expérience ouvrira la voie aux Angry Young Men.Carnet de Londres se présente sous la forme d’un journal qui traite avec sincérité et humour à la fois des détails tragi-comiques de sa vie et ses relations avec la première avant-garde européenne du cinéma.