Belgique. Les van Eyck et Memling.
FROMENTIN Eugène.

Belgique. Les van Eyck et Memling.

Marguerite Waknine
Prix régulier €9,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 23718
Format 16 x 21
Détails 48 p., cahier.
Publication Angoulême, 2019
Etat Neuf
ISBN 9791094565544

Eugène Fromentin (1820-1876) a réussi la prouesse d’être à la fois peintre et écrivain. On peut en effet lire encore aujourd’hui : Dominique, ce remarquable roman autobiographique, inspiré par un amour d’adolescence et dédicacé à George Sand, comme on peut toujours dans de nombreux musées français (Le Louvre, Orsay, Chantilly, La Rochelle…) croiser son oeuvre picturale qui le classe parmi le courant orientaliste et qu’Eugène Fromentin entreprend après des études d’art à Paris et un premier voyage en Algérie (il y en aura trois en tout). Voilà déjà qui devrait nous conduire à considérer Fromentin comme un grand voyageur dont les belles escapades feront l’objet de plusieurs récits aux titres évocateurs : Un été dans le Sahara, en 1856, et Une année dans le Sahel, deux années plus tard. L’aventurier est donc un véritable explorateur, à même encore d’entreprendre, à la fin de sa vie, un dernier périple, en Belgique et Hollande cette fois, à la rencontre des plus grands peintres, comme Hals, Rubens, Rembrandt, Ruysdael… Un dernier périple donc, dont Fromentin saura tirer un traité d’esthétique magistral, intitulé : Les Maîtres d’autrefois. Voyage, traité, dont le dernier épisode ou le dernier chapitre (Belgique - Les van Eyck et Memling) est une invitation à la découverte et la contemplation de ce qu’il peut y avoir de grâce et de splendeur chez les plus grands maîtres. En l’occurrence, deux chefs-d’oeuvre de l’art primitif flamand :
Le retable de L’Adoration de l’Agneau mystique, de Jan et Hubert van Eyck, et Le Tryptique du Mariage mystique de sainte Catherine, de Hans Memling.

Eugène Fromentin (1820-1876) a réussi la prouesse d’être à la fois peintre et écrivain. On peut en effet lire encore aujourd’hui : Dominique, ce remarquable roman autobiographique, inspiré par un amour d’adolescence et dédicacé à George Sand, comme on peut toujours dans de nombreux musées français (Le Louvre, Orsay, Chantilly, La Rochelle…) croiser son oeuvre picturale qui le classe parmi le courant orientaliste et qu’Eugène Fromentin entreprend après des études d’art à Paris et un premier voyage en Algérie (il y en aura trois en tout). Voilà déjà qui devrait nous conduire à considérer Fromentin comme un grand voyageur dont les belles escapades feront l’objet de plusieurs récits aux titres évocateurs : Un été dans le Sahara, en 1856, et Une année dans le Sahel, deux années plus tard. L’aventurier est donc un véritable explorateur, à même encore d’entreprendre, à la fin de sa vie, un dernier périple, en Belgique et Hollande cette fois, à la rencontre des plus grands peintres, comme Hals, Rubens, Rembrandt, Ruysdael… Un dernier périple donc, dont Fromentin saura tirer un traité d’esthétique magistral, intitulé : Les Maîtres d’autrefois. Voyage, traité, dont le dernier épisode ou le dernier chapitre (Belgique - Les van Eyck et Memling) est une invitation à la découverte et la contemplation de ce qu’il peut y avoir de grâce et de splendeur chez les plus grands maîtres. En l’occurrence, deux chefs-d’oeuvre de l’art primitif flamand :
Le retable de L’Adoration de l’Agneau mystique, de Jan et Hubert van Eyck, et Le Tryptique du Mariage mystique de sainte Catherine, de Hans Memling.