Azzedine Alaïa, couturier collectionneur.
SAILLARD Olivier.

Azzedine Alaïa, couturier collectionneur.

Palais Galliera / Paris Musées
Prix régulier €39,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 29767
Format 23 x 30,6
Détails 192 p., illustré, cartonnage éditeur.
Publication Paris, 2023
Etat Neuf
ISBN 9782759605583
La collection personnelle d'Azzedine Alaïa raconte non seulement l'histoire de la mode, mais aussi celle d'un savoir-faire. S'il a collectionné des pièces de couturiers français connus et bien documentés tels que Christian Dior et Cristobal Balenciaga, l'éventail de la collection est étonnant car un grand nombre des pièces de créateurs parfois oubliées dans l'histoire de la mode font partie de ces trouvailles.
La présence du couturier est documentée dans presque toutes les grandes ventes aux enchères de mode. Alaïa enchérissait sur une cape Lanvin et simultanément achetait une robe de jour Carven en coton jaune et noir. Ses choix, aussi divers stylistiquement qu'ils le sont en termes de technique et de coupe, suggèrent qu'il n'était pas tant intéressé par la collection des grands noms de la mode - une grande partie de la collection est constituée de vêtements sans griffe - mais plutôt par le regroupement de pièces témoignant de l'évolution de l'artisanat et de la créativité au cours de ce siècle.
Cette exposition est donc une occasion unique d'explorer l'histoire de pièces, qui après avoir été sauvées par Alaïa pendant de nombreuses années, sont désormais partagées avec le public.
La collection personnelle d'Azzedine Alaïa raconte non seulement l'histoire de la mode, mais aussi celle d'un savoir-faire. S'il a collectionné des pièces de couturiers français connus et bien documentés tels que Christian Dior et Cristobal Balenciaga, l'éventail de la collection est étonnant car un grand nombre des pièces de créateurs parfois oubliées dans l'histoire de la mode font partie de ces trouvailles.
La présence du couturier est documentée dans presque toutes les grandes ventes aux enchères de mode. Alaïa enchérissait sur une cape Lanvin et simultanément achetait une robe de jour Carven en coton jaune et noir. Ses choix, aussi divers stylistiquement qu'ils le sont en termes de technique et de coupe, suggèrent qu'il n'était pas tant intéressé par la collection des grands noms de la mode - une grande partie de la collection est constituée de vêtements sans griffe - mais plutôt par le regroupement de pièces témoignant de l'évolution de l'artisanat et de la créativité au cours de ce siècle.
Cette exposition est donc une occasion unique d'explorer l'histoire de pièces, qui après avoir été sauvées par Alaïa pendant de nombreuses années, sont désormais partagées avec le public.