Artistes tchèques en Bretagne. 1850-1950. De l'art nouveau au surréalisme.
Locus SolusN° d'inventaire | 21388 |
Format | 22 x 28 |
Détails | 127 p., reproductions couleur, broché avec rabats. |
Publication | Châteaulin, 2018 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782368331972 |
Des réalistes aux surréalistes en passant par les symbolistes ou l'Art nouveau et son maître Alfons Mucha, nombreux furent les artistes tchèques à venir chercher l'inspiration en Bretagne. L'océan, les côtes tourmentées et le pittoresque d'un arrière-pays préservé offraient un réel dépaysement à ces peintres et graveurs qui y firent des séjours ou s'installèrent durablement dès 1860. Grâce à la collaboration entre la Galerie nationale de Prague et le Musée départemental breton à Quimper, nous est ici révélé un pan très documenté de cette histoire. Il présente une étonnante variété de courants esthétiques et souligne le regard sensible, original, des artistes tchèques sur la Bretagne. Il illustre aussi leur lien étroit avec la France : Mucha partagea son atelier avec Gauguin, Jan Zrzavy fit du Finistère sa patrie d'adoption, Toyen explora l'île de Sein en compagnie du poète André Breton. Les créations primitivistes de Jan Krízek, enfin, nous reportent aux origines celtiques de l'Armorique gauloise... Peintures, estampes, sculptures, la plupart inconnues en France, illustrent ce rapprochement des cultures, initiative consacrée par le label de l'Année européenne du Patrimoine culturel.
Des réalistes aux surréalistes en passant par les symbolistes ou l'Art nouveau et son maître Alfons Mucha, nombreux furent les artistes tchèques à venir chercher l'inspiration en Bretagne. L'océan, les côtes tourmentées et le pittoresque d'un arrière-pays préservé offraient un réel dépaysement à ces peintres et graveurs qui y firent des séjours ou s'installèrent durablement dès 1860. Grâce à la collaboration entre la Galerie nationale de Prague et le Musée départemental breton à Quimper, nous est ici révélé un pan très documenté de cette histoire. Il présente une étonnante variété de courants esthétiques et souligne le regard sensible, original, des artistes tchèques sur la Bretagne. Il illustre aussi leur lien étroit avec la France : Mucha partagea son atelier avec Gauguin, Jan Zrzavy fit du Finistère sa patrie d'adoption, Toyen explora l'île de Sein en compagnie du poète André Breton. Les créations primitivistes de Jan Krízek, enfin, nous reportent aux origines celtiques de l'Armorique gauloise... Peintures, estampes, sculptures, la plupart inconnues en France, illustrent ce rapprochement des cultures, initiative consacrée par le label de l'Année européenne du Patrimoine culturel.