Art phénicien. La sculpture de tradition phénicienne.
RMN, SnoeckN° d'inventaire | 26682 |
Format | 21 x 27 |
Détails | 172 p., nombreuses illustrations noir et blanc, broché. |
Publication | Paris, 2002 |
Etat | Occasion |
ISBN | 9782711844296 |
La collection levantine du musée du Louvre, particulièrement riche en vestiges provenant des sites de Sidon, Tyr, Byblos et Amrit, est l'une des plus complètes du monde, avec celles des musées de Beyrouth et d'Istanbul.
Ce catalogue raisonné de 178 numéros étudie les œuvres de tradition phénicienne, essentiellement des sculptures de pierre datant du Ier millénaire avant notre ère - avec quelques exceptions, comme le relief représentant la déesse de Byblos sous les traits d'Hathor, qui remonte à la fin du IIIe millénaire, et le mithreum de Sidon, témoignage unique sur un culte répandu également en Occident, daté du IVe siècle de notre ère.
Les très nombreux monuments phéniciens de Chypre conservés au musée du Louvre ont fait l'objet de catalogues séparés, mais ceux qui proviennent de Grèce et de Malte sont présentés ici, avec la célèbre inscription bilingue de Malte qui permit à l'abbé Barthélemy de déchiffrer le phénicien en 1764.
Le catalogue est précédé d'un historique de la collection, dont le noyau est issu de la mission scientifique menée par Ernest Renan en 1860-1861 ; elle s'est considérablement enrichie en 1967 grâce au don de la collection De Clercq. De brèves notices rassemblent des informations sur les savants, voyageurs et collectionneurs qui se sont intéressés aux antiquités de Phénicie depuis le XIXe siècle.
La collection levantine du musée du Louvre, particulièrement riche en vestiges provenant des sites de Sidon, Tyr, Byblos et Amrit, est l'une des plus complètes du monde, avec celles des musées de Beyrouth et d'Istanbul.
Ce catalogue raisonné de 178 numéros étudie les œuvres de tradition phénicienne, essentiellement des sculptures de pierre datant du Ier millénaire avant notre ère - avec quelques exceptions, comme le relief représentant la déesse de Byblos sous les traits d'Hathor, qui remonte à la fin du IIIe millénaire, et le mithreum de Sidon, témoignage unique sur un culte répandu également en Occident, daté du IVe siècle de notre ère.
Les très nombreux monuments phéniciens de Chypre conservés au musée du Louvre ont fait l'objet de catalogues séparés, mais ceux qui proviennent de Grèce et de Malte sont présentés ici, avec la célèbre inscription bilingue de Malte qui permit à l'abbé Barthélemy de déchiffrer le phénicien en 1764.
Le catalogue est précédé d'un historique de la collection, dont le noyau est issu de la mission scientifique menée par Ernest Renan en 1860-1861 ; elle s'est considérablement enrichie en 1967 grâce au don de la collection De Clercq. De brèves notices rassemblent des informations sur les savants, voyageurs et collectionneurs qui se sont intéressés aux antiquités de Phénicie depuis le XIXe siècle.