Arnaldo Pomodoro dans les jardins du palais royal. Sculptures. 1962-2000.
SkiraN° d'inventaire | 23750 |
Format | 24 x 30 |
Détails | 152 p., broché. |
Publication | Milan, 2002 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9788884912459 |
Les jardins du Palais-Royal ont accueilli les œuvres d’Arnaldo Pomodoro qui a toujours souhaité, selon ses propres termes, que l’intensité dramatique de ses œuvres soit tout à la fois «tempérée et révélée par la lumière naturelle«.
Arnaldo Pomodoro a été profondément marqué, dans son enfance, par les paysages italiens de sa région de naissance, autour de Montefeltro. Dans les années 60, l’artiste s’est davantage intéressé à la sculpture dans l’espace urbain. Ses formes à trois dimensions ont commencé à émerger.
Ces sculptures sont révélatrices de tensions divergentes entre l’opposition des concepts et des émotions. On ressent les oppositions entre l’ancien et le contemporain, le mécanique et l’organique, ou même le métaphysique. L’agrandissement de la taille et de l’échelle de ses sculptures est allée de pair avec la complexification de son travail.
L’artiste dit lui-même : « J’ai parfois l’impression que les gens trouvent ma sculpture mystique, mais je ne pense pas que ce soit le cas, moi, je vois les ruptures, les parties érodées, le potentiel de destruction qui vient de notre époque de violence et de désenchantement ».
Ses thèmes dominants restent les mêmes. Ses sculptures concilient respect du passé et admiration pour la technologie, tempérés par les angoisses des dures réalités de notre époque post-industrielle. Néanmoins, son œuvre reste profondément optimiste. L’artiste dit que « par dessus tout, il ne veut pas que son œuvre soit lue de manière pessimiste. »Son goût pour la sculpture monumentale s’explique selon ses propres mots :« A travers mon expression artistique, je veux développer des émotions fortes mais constructives.
Les jardins du Palais-Royal ont accueilli les œuvres d’Arnaldo Pomodoro qui a toujours souhaité, selon ses propres termes, que l’intensité dramatique de ses œuvres soit tout à la fois «tempérée et révélée par la lumière naturelle«.
Arnaldo Pomodoro a été profondément marqué, dans son enfance, par les paysages italiens de sa région de naissance, autour de Montefeltro. Dans les années 60, l’artiste s’est davantage intéressé à la sculpture dans l’espace urbain. Ses formes à trois dimensions ont commencé à émerger.
Ces sculptures sont révélatrices de tensions divergentes entre l’opposition des concepts et des émotions. On ressent les oppositions entre l’ancien et le contemporain, le mécanique et l’organique, ou même le métaphysique. L’agrandissement de la taille et de l’échelle de ses sculptures est allée de pair avec la complexification de son travail.
L’artiste dit lui-même : « J’ai parfois l’impression que les gens trouvent ma sculpture mystique, mais je ne pense pas que ce soit le cas, moi, je vois les ruptures, les parties érodées, le potentiel de destruction qui vient de notre époque de violence et de désenchantement ».
Ses thèmes dominants restent les mêmes. Ses sculptures concilient respect du passé et admiration pour la technologie, tempérés par les angoisses des dures réalités de notre époque post-industrielle. Néanmoins, son œuvre reste profondément optimiste. L’artiste dit que « par dessus tout, il ne veut pas que son œuvre soit lue de manière pessimiste. »Son goût pour la sculpture monumentale s’explique selon ses propres mots :« A travers mon expression artistique, je veux développer des émotions fortes mais constructives.