Arman. 1954-1974.
CELANT Germano.

Arman. 1954-1974.

Silvana Editoriale
Prix régulier €45,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 23480
Format 24 x 30
Détails 423 p., cartonnage éditeur.
Publication Milan, 2021
Etat Neuf
ISBN 9788836636198

Cet ouvrage, dirigé par Germano Celant, présente le cheminement artistique d’Arman (Nice, 1928 - New York, 2005) à travers un riche parcours, où les événements personnels croisent l’histoire et le contexte artistique international. Depuis ses débuts, dans les années cinquante, jusqu’à la signature du manifeste du Nouveau Réalisme en 1960 et son déménagement aux États-Unis où il rencontre les mouvements néo-dadaïstes et le pop art –, la chronologie retrace par étapes toute la vie de l’artiste, en approfondissant surtout la période comprise entre ses premières œuvres et 1974. L’artiste déploie ses recherches autour des objets du quotidien : comme affirme Celant, « l’intensification des virtualités existentielles de l’objet a amené Arman à l’exploration de territoires du minimum au maximum du vivre en ville : du cachet au monument. Il a mélangé matières et produits, unités et séries, singularités et hétérogénéités, en imposant l’ordre et le désordre, pour arriver à constituer le flux critique du réel. » La narration éditoriale s’enrichit d’un vaste appareil iconographique : des Accumulations d’objets industriels et de produits en série, aux Poubelles qui mémorisent les déchets de la société de consommation ; des célèbres Colères, Coupes et Combustions, qui dématérialisent les objets par le biais de différents procédés, les privant de leur fonctionnalité, à la peinture, aux actions et aux œuvres monumentales.

Cet ouvrage, dirigé par Germano Celant, présente le cheminement artistique d’Arman (Nice, 1928 - New York, 2005) à travers un riche parcours, où les événements personnels croisent l’histoire et le contexte artistique international. Depuis ses débuts, dans les années cinquante, jusqu’à la signature du manifeste du Nouveau Réalisme en 1960 et son déménagement aux États-Unis où il rencontre les mouvements néo-dadaïstes et le pop art –, la chronologie retrace par étapes toute la vie de l’artiste, en approfondissant surtout la période comprise entre ses premières œuvres et 1974. L’artiste déploie ses recherches autour des objets du quotidien : comme affirme Celant, « l’intensification des virtualités existentielles de l’objet a amené Arman à l’exploration de territoires du minimum au maximum du vivre en ville : du cachet au monument. Il a mélangé matières et produits, unités et séries, singularités et hétérogénéités, en imposant l’ordre et le désordre, pour arriver à constituer le flux critique du réel. » La narration éditoriale s’enrichit d’un vaste appareil iconographique : des Accumulations d’objets industriels et de produits en série, aux Poubelles qui mémorisent les déchets de la société de consommation ; des célèbres Colères, Coupes et Combustions, qui dématérialisent les objets par le biais de différents procédés, les privant de leur fonctionnalité, à la peinture, aux actions et aux œuvres monumentales.