Anne Eisner: Images du Congo.
LIGNER SARAH, WARREN Rosanna.

Anne Eisner: Images du Congo.

Skira
Prix régulier €35,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 26532
Format 17 x 24
Détails 208 p., illustré, broché.
Publication Italie, 2023
Etat Neuf
ISBN 9782370742018
Née aux États-Unis, l'artiste Anne Eisner (1911-1967) a voyagé en Afrique dès 1946 avec son futur mari Patrick Putnam, fondateur du Putnam camp à Epulu au Congo sous la colonisation belge (actuellement RDC) qui accueillait touristes, ethnologues et anthropologues. Pendant sept années, Anne Eisner va vivre à Epulu, au sein d'une communauté multi-ethnique comprenant notamment les pygmées Mbuti vivant dans la forêt et les Bantu installés dans les villages. Ces rencontres nourrissent son inspiration. Ses œuvres peintes sur place ont pour sujet principal la forêt environnante, dans des compositions marquées par les effets d'ombre et de lumière. De retour à New York en 1954, Anne Eisner peint l'Afrique de mémoire dans une véritable explosion créatrice. Entre 1956 et 1957, elle représente les femmes Mbuti et Bantu dans leurs tâches quotidiennes dans une série de tableaux à l'huile et de gouaches. D'autres oeuvres plus tardives témoignent de son goût pour l'abstraction. Méconnus, l'œuvre et le parcours d'Anne Eisner trouvent ici une reconnaissance méritée.

Cet ouvrage, version française d'un livre en anglais paru en 2005, prolonge l'exposition organisée au musée du Quai Branly et célèbre l'arrivée de ces nouvelles œuvres dans les collections du musée.
Née aux États-Unis, l'artiste Anne Eisner (1911-1967) a voyagé en Afrique dès 1946 avec son futur mari Patrick Putnam, fondateur du Putnam camp à Epulu au Congo sous la colonisation belge (actuellement RDC) qui accueillait touristes, ethnologues et anthropologues. Pendant sept années, Anne Eisner va vivre à Epulu, au sein d'une communauté multi-ethnique comprenant notamment les pygmées Mbuti vivant dans la forêt et les Bantu installés dans les villages. Ces rencontres nourrissent son inspiration. Ses œuvres peintes sur place ont pour sujet principal la forêt environnante, dans des compositions marquées par les effets d'ombre et de lumière. De retour à New York en 1954, Anne Eisner peint l'Afrique de mémoire dans une véritable explosion créatrice. Entre 1956 et 1957, elle représente les femmes Mbuti et Bantu dans leurs tâches quotidiennes dans une série de tableaux à l'huile et de gouaches. D'autres oeuvres plus tardives témoignent de son goût pour l'abstraction. Méconnus, l'œuvre et le parcours d'Anne Eisner trouvent ici une reconnaissance méritée.

Cet ouvrage, version française d'un livre en anglais paru en 2005, prolonge l'exposition organisée au musée du Quai Branly et célèbre l'arrivée de ces nouvelles œuvres dans les collections du musée.