PLAUTE.
Amphityron. L'Aululaire. Le soldat fanfaron.
Flammarion
Prix régulier
€6,56
N° d'inventaire | 25606 |
Format | 10,7 x 17,7 |
Détails | 384 p., broché. |
Publication | Paris, 1991 |
Etat | Occasion |
ISBN | 9782080706003 |
Amphitryon part guerroyer contre les Téléboens. Son épouse, la vertueuse Alcmène, attend son retour avec impatience. Mais Jupiter, séduit par ses charmes, la dupe en prenant les traits de l’absent. De son côté, Mercure, le messager de Jupiter, s’amuse à faire douter de sa propre existence Sosie, dont il a également pris l’apparence. L’avare Euclion n’a qu’une obsession : mettre en lieu sûr l’«aululaire», une marmite remplie d’or. Que les prétendants se le tiennent pour dit : il ne dépensera pas un sou pour marier sa fille ! Pyrgopolinices, soldat fanfaron, a enlevé la jeune fiancée de Pleusiclès. Les deux amants pourront-ils un jour se retrouver ? Par chance, un esclave rusé veille sur eux et rivalisera d’invention pour ridiculiser le ravisseur… Ces comédies virevoltantes, Plaute les a écrites pour un public populaire avide de dépaysement et de rebondissements. Près de deux mille ans plus tard, Molière s’inspirera de ces quiproquos improbables.
Amphitryon part guerroyer contre les Téléboens. Son épouse, la vertueuse Alcmène, attend son retour avec impatience. Mais Jupiter, séduit par ses charmes, la dupe en prenant les traits de l’absent. De son côté, Mercure, le messager de Jupiter, s’amuse à faire douter de sa propre existence Sosie, dont il a également pris l’apparence. L’avare Euclion n’a qu’une obsession : mettre en lieu sûr l’«aululaire», une marmite remplie d’or. Que les prétendants se le tiennent pour dit : il ne dépensera pas un sou pour marier sa fille ! Pyrgopolinices, soldat fanfaron, a enlevé la jeune fiancée de Pleusiclès. Les deux amants pourront-ils un jour se retrouver ? Par chance, un esclave rusé veille sur eux et rivalisera d’invention pour ridiculiser le ravisseur… Ces comédies virevoltantes, Plaute les a écrites pour un public populaire avide de dépaysement et de rebondissements. Près de deux mille ans plus tard, Molière s’inspirera de ces quiproquos improbables.