AMOUR. AMYP.
BOVET Emmanuel. MERTZ KOZIEJA Orane.

AMOUR. AMYP.

Filigranes
Prix régulier €15,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 32139
Format 14 x 21
Détails 64p p., 72 photographies couleurs, 1 poster, broché.
Publication Bruxelles, 2025
Etat Neuf
ISBN 9782350466354

Un fleuve nommé Amour d’Emanuel Bovet et Orane Mertz Kozieja est un livre contemplatif qui explore l’espace flou entre la Russie et la Chine. Les auteurs nous plongent dans des paysages de frontières poreuses où chaque photo devient une énigme, capturant des fragments de vies anonymes et d’histoires fugaces. Ce n’est pas un carnet de voyage traditionnel, mais un carnet d’instants saisis et de questions ouvertes, un journal d’images fragmentées où la banalité et la poésie se mêlent dans un chaos harmonieux.

Le livre témoigne d’une réalité à la fois tendre et trouble, entre les éclats de vie et les ombres de guerre latentes. Les scènes – une vieille femme, des affiches déchirées, des enfants dansants, des amoureux sous un ciel rose – dessinent un quotidien à la fois ordinaire et sacré, invitant le lecteur à contempler ces morceaux de vie comme des souvenirs qui vibrent encore.

Ce “fleuve” Amour ne cherche pas à expliquer, mais à éveiller en nous des résonances personnelles, une introspection. Chaque image devient une porte vers des histoires incomplètes, un courant qui invite à se laisser emporter, à découvrir nos propres failles à travers ces scènes de vie modestes et vibrantes.

Un fleuve nommé Amour d’Emanuel Bovet et Orane Mertz Kozieja est un livre contemplatif qui explore l’espace flou entre la Russie et la Chine. Les auteurs nous plongent dans des paysages de frontières poreuses où chaque photo devient une énigme, capturant des fragments de vies anonymes et d’histoires fugaces. Ce n’est pas un carnet de voyage traditionnel, mais un carnet d’instants saisis et de questions ouvertes, un journal d’images fragmentées où la banalité et la poésie se mêlent dans un chaos harmonieux.

Le livre témoigne d’une réalité à la fois tendre et trouble, entre les éclats de vie et les ombres de guerre latentes. Les scènes – une vieille femme, des affiches déchirées, des enfants dansants, des amoureux sous un ciel rose – dessinent un quotidien à la fois ordinaire et sacré, invitant le lecteur à contempler ces morceaux de vie comme des souvenirs qui vibrent encore.

Ce “fleuve” Amour ne cherche pas à expliquer, mais à éveiller en nous des résonances personnelles, une introspection. Chaque image devient une porte vers des histoires incomplètes, un courant qui invite à se laisser emporter, à découvrir nos propres failles à travers ces scènes de vie modestes et vibrantes.