ICARDI Giulia.
Affirmer sa puissance par la mer: La rivalité pour l'hégémonie en Grèce dans la première moitié du IVe siècle avant J.C.
MOM
Prix régulier
€50,00
N° d'inventaire | 31008 |
Format | 21 x 29,7 |
Détails | 388 p., nombreuses photographies couleurs, broché. |
Publication | Lyon, 2024 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782356680877 |
L'une des conséquences de la Guerre du Péloponnèse a été le développement d'une politique navale à grande échelle de la part de deux puissances terrestres : Sparte et la Confédération béotienne. A l'époque de leurs hégémonies respectives (404-371 av. J.-C. ; 371-362 av. J.-C.), elles ont dû se tourner vers la mer pour contrer le pouvoir qu'Athènes y exerçait traditionnellement, en mettant ainsi fin à l'idée d'une hégémonie divisée entre Sparte, puissance exclusivement terrestre, et Athènes, maîtresse de la mer.
Cette nécessité a mené Sparte et la Béotie à s'adapter pour faire face aux contraintes imposées par la guerre navale et par le contrôle des lieux stratégiques. Différentes questions se posent pour analyser les tentatives de ces deux réalités fortement liées à la terre et à l'armée d'hoplites de mettre en place une politique navale. Tout d'abord, les ressources, en argent, hommes et matériaux, pour la construction et l'entretien d'une flotte et des ports militaires ; ensuite la disposition et l'aménagement des sites urbains près de la mer et leur lien avec la navigation et le contrôle des routes et du territoire ; la hiérarchie et les fonctions des commandants de la flotte ; enfin, les relations internationales visant à créer des liens avec des endroits importants du point de vue d'une stratégie navale.
Cette nécessité a mené Sparte et la Béotie à s'adapter pour faire face aux contraintes imposées par la guerre navale et par le contrôle des lieux stratégiques. Différentes questions se posent pour analyser les tentatives de ces deux réalités fortement liées à la terre et à l'armée d'hoplites de mettre en place une politique navale. Tout d'abord, les ressources, en argent, hommes et matériaux, pour la construction et l'entretien d'une flotte et des ports militaires ; ensuite la disposition et l'aménagement des sites urbains près de la mer et leur lien avec la navigation et le contrôle des routes et du territoire ; la hiérarchie et les fonctions des commandants de la flotte ; enfin, les relations internationales visant à créer des liens avec des endroits importants du point de vue d'une stratégie navale.
L'une des conséquences de la Guerre du Péloponnèse a été le développement d'une politique navale à grande échelle de la part de deux puissances terrestres : Sparte et la Confédération béotienne. A l'époque de leurs hégémonies respectives (404-371 av. J.-C. ; 371-362 av. J.-C.), elles ont dû se tourner vers la mer pour contrer le pouvoir qu'Athènes y exerçait traditionnellement, en mettant ainsi fin à l'idée d'une hégémonie divisée entre Sparte, puissance exclusivement terrestre, et Athènes, maîtresse de la mer.
Cette nécessité a mené Sparte et la Béotie à s'adapter pour faire face aux contraintes imposées par la guerre navale et par le contrôle des lieux stratégiques. Différentes questions se posent pour analyser les tentatives de ces deux réalités fortement liées à la terre et à l'armée d'hoplites de mettre en place une politique navale. Tout d'abord, les ressources, en argent, hommes et matériaux, pour la construction et l'entretien d'une flotte et des ports militaires ; ensuite la disposition et l'aménagement des sites urbains près de la mer et leur lien avec la navigation et le contrôle des routes et du territoire ; la hiérarchie et les fonctions des commandants de la flotte ; enfin, les relations internationales visant à créer des liens avec des endroits importants du point de vue d'une stratégie navale.
Cette nécessité a mené Sparte et la Béotie à s'adapter pour faire face aux contraintes imposées par la guerre navale et par le contrôle des lieux stratégiques. Différentes questions se posent pour analyser les tentatives de ces deux réalités fortement liées à la terre et à l'armée d'hoplites de mettre en place une politique navale. Tout d'abord, les ressources, en argent, hommes et matériaux, pour la construction et l'entretien d'une flotte et des ports militaires ; ensuite la disposition et l'aménagement des sites urbains près de la mer et leur lien avec la navigation et le contrôle des routes et du territoire ; la hiérarchie et les fonctions des commandants de la flotte ; enfin, les relations internationales visant à créer des liens avec des endroits importants du point de vue d'une stratégie navale.