Adolphe Pétérelle. 1874-1947.
Gourcuff GradenigoN° d'inventaire | 22379 |
Format | 24 x 30 |
Détails | 160 p., relié. |
Publication | Montreuil, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782353403059 |
Adolphe Pétérelle est un peintre singulier que l’on peut rattacher au mouvement expressionniste, même s’il a toujours revendiqué son indépendance à l’égard de toute école. Né en 1874 à Genève, Pétérelle arrive à Paris en 1891. Il s’installe à Montmartre dans un atelier au Bateau Lavoir qu’il quittera en 1908 pour la Cité Falguière où il travaillera jusqu’à sa mort en 1947. Une de ses premières expositions a lieu en 1913, à la galerie l’Encrier. Engagé dans la Légion étrangère, il est blessé dans la Somme et perd un œil. Réformé et naturalisé français, il retrouve son atelier. Il expose à la galerie du Montparnasse en 1927, puis à la galerie Georges Bernheim en 1930 où il remporte beaucoup de succès. Il participe au salon d’Automne et régulièrement au salon des Tuileries. Une importante exposition galerie Charpentier en 1938 est suivie en 1942 d’une rétrospective à la galerie de France. Soutenu par la critique, il bénéficie de commandes de l’État et ses œuvres sont achetées par de nombreux collectionneurs. Cet expressionniste visionnaire, maître du clair-obscur, reste attaché au naturalisme qui reste le cœur de son inspiration. L’ouvrage s’attache à présenter l’œuvre de l’artiste selon un rythme thématique. On retrouve ainsi les thèmes suivants : les grands nus féminins, des portraits plus intimes, des musiciens, des scènes d’église et de processions, des paysages et des foules…). Pétérelle pratique également le dessin qui constitue une œuvre à part entière. Décédé en 1947, Pétérelle laisse derrière lui une œuvre forte et poignante, progressivement tombée dans l’oubli et que cet ouvrage tente de remettre en lumière. L’auteur, Lydia Harambourg est historienne d’art et journaliste, membre correspondante de l’Académie des Beaux-Arts. Elle a écrit de nombreux ouvrages sur la peinture francaise du xxe siècle et sur la seconde école de Paris.
Adolphe Pétérelle est un peintre singulier que l’on peut rattacher au mouvement expressionniste, même s’il a toujours revendiqué son indépendance à l’égard de toute école. Né en 1874 à Genève, Pétérelle arrive à Paris en 1891. Il s’installe à Montmartre dans un atelier au Bateau Lavoir qu’il quittera en 1908 pour la Cité Falguière où il travaillera jusqu’à sa mort en 1947. Une de ses premières expositions a lieu en 1913, à la galerie l’Encrier. Engagé dans la Légion étrangère, il est blessé dans la Somme et perd un œil. Réformé et naturalisé français, il retrouve son atelier. Il expose à la galerie du Montparnasse en 1927, puis à la galerie Georges Bernheim en 1930 où il remporte beaucoup de succès. Il participe au salon d’Automne et régulièrement au salon des Tuileries. Une importante exposition galerie Charpentier en 1938 est suivie en 1942 d’une rétrospective à la galerie de France. Soutenu par la critique, il bénéficie de commandes de l’État et ses œuvres sont achetées par de nombreux collectionneurs. Cet expressionniste visionnaire, maître du clair-obscur, reste attaché au naturalisme qui reste le cœur de son inspiration. L’ouvrage s’attache à présenter l’œuvre de l’artiste selon un rythme thématique. On retrouve ainsi les thèmes suivants : les grands nus féminins, des portraits plus intimes, des musiciens, des scènes d’église et de processions, des paysages et des foules…). Pétérelle pratique également le dessin qui constitue une œuvre à part entière. Décédé en 1947, Pétérelle laisse derrière lui une œuvre forte et poignante, progressivement tombée dans l’oubli et que cet ouvrage tente de remettre en lumière. L’auteur, Lydia Harambourg est historienne d’art et journaliste, membre correspondante de l’Académie des Beaux-Arts. Elle a écrit de nombreux ouvrages sur la peinture francaise du xxe siècle et sur la seconde école de Paris.