La vague Hokusai. Chefs-d'oeuvre du Hokusai-kan Museum d'Obuse. 1760-1849.

La vague Hokusai. Chefs-d'oeuvre du Hokusai-kan Museum d'Obuse. 1760-1849.

Les éditions Chateau des ducs de bretagne / PUR
Prix régulier €49,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 33199
Format 24,6 x 30,6
Détails 504 p., nombreuses fig. couleur, cartonnage éditeur
Publication Rennes / Obuse, 2025
Etat Neuf
ISBN 9782906519992

Par-delà les célébrissimes Revers d'une vague au large de Kanagawa et Manga, ce livre montre tout le génie et la facétie de ce maître japonais qu'est Hokusai (1760-1849). Peintre et« fou de dessin», il s'inscrit dans une évidente modernité au sein de l'ukiyo-e. Pour forger son esthétique toute singulière, il mêle aux techniques traditionnelles de l'Extrême-Orient celles employées en Occident. li aime à l'envi dépeindre la nature, porter un regard subtil plein d'humanité sur les hommes et les femmes de son temps, mais aussi dessiner les paysages de l'Archipel... Il compose de fines illustrations pour l'édition de poèmes et de livres populaires à succès. Durant sa très longue carrière, avec frénésie et audace, il crée une œuvre hors du commun. À la fin de sa vie, il séjourne plusieurs fois à Obuse et y réalise ses derniers chefs-d'œuvre, tel le phénix du Ganshō-in. 

Par-delà les célébrissimes Revers d'une vague au large de Kanagawa et Manga, ce livre montre tout le génie et la facétie de ce maître japonais qu'est Hokusai (1760-1849). Peintre et« fou de dessin», il s'inscrit dans une évidente modernité au sein de l'ukiyo-e. Pour forger son esthétique toute singulière, il mêle aux techniques traditionnelles de l'Extrême-Orient celles employées en Occident. li aime à l'envi dépeindre la nature, porter un regard subtil plein d'humanité sur les hommes et les femmes de son temps, mais aussi dessiner les paysages de l'Archipel... Il compose de fines illustrations pour l'édition de poèmes et de livres populaires à succès. Durant sa très longue carrière, avec frénésie et audace, il crée une œuvre hors du commun. À la fin de sa vie, il séjourne plusieurs fois à Obuse et y réalise ses derniers chefs-d'œuvre, tel le phénix du Ganshō-in.