Ultima Necat III: Journal intime (1989-1991).
MURAY Philippe.

Ultima Necat III: Journal intime (1989-1991).

Les Belles Lettres
Prix régulier €35,50 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 30300
Format 15,7 x 21,8
Détails 656 p., cartonnage éditeur.
Publication Paris, réédition 2024
Etat Neuf
ISBN 9782251449920

Ce Journal, dont la lecture procure une jouissance constante, un émerveillement de chaque instant, ce Journal qui se hisse sans peine au niveau de celui de Kafka ou des Goncourt, de Delacroix ou de Gide, est celui d'un écrivain radicalisé, pour lequel deux choses comptent vraiment : la littérature, d'abord, et son œuvre, ensuite. Son oeuvre vient de la littérature et y retourne. Un fanatique de la vérité.
Causeur - 01/12/2019

L’intérêt de ces pages, c’est qu’elles illustrent à souhait ce qui fait le sel du genre, le plus ouvert qui soit en littérature : à la fois mémento vivant, confessionnal, déroulé des jours dans leur banalité dépouillée, citations, lectures, dialogues rapportés, lieu d’épanchement plus ou moins contenu, où s’invitent extraits de correspondance, textes destinés à de futures publications.
Le Figaro littéraire - 06/12/2019

Muray est un écrivain. Ses phrases ont une vie, une originalité, une force qu’on ne rencontre plus.
Commentaire - 01/12/2019

Plus de dix ans après la mort de Philippe Muray, sa vision du monde continue de nous éclairer.
Marianne - 13/12/2019

Dans ces 600 pages cruelles et mordantes, Muray raconte l’envers de son travail d’écrivain, croque des portraits corrosifs du milieu intellectuel de l’époque mais livre aussi les réflexions que lui inspire l'actualité. [...] Philippe Muray est moins un romancier qu’un pamphlétaire de génie, qui maudit son époque et ses idoles. L’absolu en moins. Lui n’a pour idéaux que le corps des femmes (surtout celles de Rubens) et la littérature.
Le Figaro Magazine - 18/12/2019

Le Journal de Muray est une entreprise géniale dont la richesse devrait faire taire les poisseux qui se plaisent à opposer chez l’auteur le pamphlétaire et le romancier.
Service littéraire - 01/12/2019

Ce journal s’apparente à une forge, dont [Muray] remonterait sans cesse la température, et dans laquelle il confectionnerait les armes conceptuelles aptes à broyer les illusions de son époque ; et de temps à autre, fuserait un projectile : roman, essai, article ou conférence. Il est surtout le lieu où il consolide sa position d’écrivain.
L'Incorrect - 01/01/2020

Ce Journal est la chronique d’un exil, au sens étymologique. Au terme « exsilio », en effet, Gaffiot donne pour définition première : « sauter hors, s’élancer hors » ; et c’est bien de cela qu’il s’agit ici, son “Rubens” et son “Empire du Bien”, contemporains de ce tome troisième, étant les deux livres par quoi Muray saute définitivement hors de ce qu’il nomme encore le Spectacle, en brisant salutairement maintes vitres sur son passage.
Service littéraire - 01/03/2020

À mesure que son Journal intime paraît, les anciens compagnons de Philippe Muray, de Catherine Millet et Jacques Henric à Philippe Sollers, découvrent tout le mal qu’il pensait d’eux.
L'OBS - 02/04/2020

Couvrant trois années cruciales (1989-1991), le troisième tome du Journal intime de Philippe Muray vaut celui des Goncourt. Y revendiquant le trouble infini dont naît la littérature, il y déclare la guerre à son temps. Avec panache et intelligence, jubilation et férocité joyeuse.
Le Matricule des Anges - 01/06/2020

Ce Journal, dont la lecture procure une jouissance constante, un émerveillement de chaque instant, ce Journal qui se hisse sans peine au niveau de celui de Kafka ou des Goncourt, de Delacroix ou de Gide, est celui d'un écrivain radicalisé, pour lequel deux choses comptent vraiment : la littérature, d'abord, et son œuvre, ensuite. Son oeuvre vient de la littérature et y retourne. Un fanatique de la vérité.
Causeur - 01/12/2019

L’intérêt de ces pages, c’est qu’elles illustrent à souhait ce qui fait le sel du genre, le plus ouvert qui soit en littérature : à la fois mémento vivant, confessionnal, déroulé des jours dans leur banalité dépouillée, citations, lectures, dialogues rapportés, lieu d’épanchement plus ou moins contenu, où s’invitent extraits de correspondance, textes destinés à de futures publications.
Le Figaro littéraire - 06/12/2019

Muray est un écrivain. Ses phrases ont une vie, une originalité, une force qu’on ne rencontre plus.
Commentaire - 01/12/2019

Plus de dix ans après la mort de Philippe Muray, sa vision du monde continue de nous éclairer.
Marianne - 13/12/2019

Dans ces 600 pages cruelles et mordantes, Muray raconte l’envers de son travail d’écrivain, croque des portraits corrosifs du milieu intellectuel de l’époque mais livre aussi les réflexions que lui inspire l'actualité. [...] Philippe Muray est moins un romancier qu’un pamphlétaire de génie, qui maudit son époque et ses idoles. L’absolu en moins. Lui n’a pour idéaux que le corps des femmes (surtout celles de Rubens) et la littérature.
Le Figaro Magazine - 18/12/2019

Le Journal de Muray est une entreprise géniale dont la richesse devrait faire taire les poisseux qui se plaisent à opposer chez l’auteur le pamphlétaire et le romancier.
Service littéraire - 01/12/2019

Ce journal s’apparente à une forge, dont [Muray] remonterait sans cesse la température, et dans laquelle il confectionnerait les armes conceptuelles aptes à broyer les illusions de son époque ; et de temps à autre, fuserait un projectile : roman, essai, article ou conférence. Il est surtout le lieu où il consolide sa position d’écrivain.
L'Incorrect - 01/01/2020

Ce Journal est la chronique d’un exil, au sens étymologique. Au terme « exsilio », en effet, Gaffiot donne pour définition première : « sauter hors, s’élancer hors » ; et c’est bien de cela qu’il s’agit ici, son “Rubens” et son “Empire du Bien”, contemporains de ce tome troisième, étant les deux livres par quoi Muray saute définitivement hors de ce qu’il nomme encore le Spectacle, en brisant salutairement maintes vitres sur son passage.
Service littéraire - 01/03/2020

À mesure que son Journal intime paraît, les anciens compagnons de Philippe Muray, de Catherine Millet et Jacques Henric à Philippe Sollers, découvrent tout le mal qu’il pensait d’eux.
L'OBS - 02/04/2020

Couvrant trois années cruciales (1989-1991), le troisième tome du Journal intime de Philippe Muray vaut celui des Goncourt. Y revendiquant le trouble infini dont naît la littérature, il y déclare la guerre à son temps. Avec panache et intelligence, jubilation et férocité joyeuse.
Le Matricule des Anges - 01/06/2020