Les phéniciens, une civilisation méditerranéenne.
BONNET Corinne, GUILLON Elodie, PORZIA Fabio.

Les phéniciens, une civilisation méditerranéenne.

Tallandier
Prix régulier €10,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 25538
Format 12 x 18
Détails 288 p., quelques illustrations noir et blanc, broché.
Publication Paris, 2021
Etat Neuf
ISBN 9791021051027

Collection "Texto".

Venus de Byblos, Sidon ou Tyr, terres adossées aux montagnes du Liban, les Phéniciens, peuple de marins, bâtisseurs, marchands et agriculteurs, ont profondément marqué les rivages de la Méditerranée antique et son histoire.

Entre 1200 et 300 avant notre ère, les Phéniciens saisissent toutes les opportunités pour tisser une vaste toile de connexions commerciales, culturelles et religieuses. Producteurs d’huile, de vin et de bois de cèdre, grands artisans du métal, ils font aussi un large commerce d’épices, de parfums et de produits exotiques, du Levant au Portugal. Ils échangent avec les élites locales, diffusent l’alphabet, influencent les arts et créent de nombreux comptoirs et cités, dont la sublime Carthage. Du ProcheOrient aux portes de l’Atlantique, cette brillante civilisation millénaire continue d’interroger les historiens


Collection "Texto".

Venus de Byblos, Sidon ou Tyr, terres adossées aux montagnes du Liban, les Phéniciens, peuple de marins, bâtisseurs, marchands et agriculteurs, ont profondément marqué les rivages de la Méditerranée antique et son histoire.

Entre 1200 et 300 avant notre ère, les Phéniciens saisissent toutes les opportunités pour tisser une vaste toile de connexions commerciales, culturelles et religieuses. Producteurs d’huile, de vin et de bois de cèdre, grands artisans du métal, ils font aussi un large commerce d’épices, de parfums et de produits exotiques, du Levant au Portugal. Ils échangent avec les élites locales, diffusent l’alphabet, influencent les arts et créent de nombreux comptoirs et cités, dont la sublime Carthage. Du ProcheOrient aux portes de l’Atlantique, cette brillante civilisation millénaire continue d’interroger les historiens