De la Gaule à l’Orient méditerranéen. Fonctions et statuts des mobiliers archéologiques dans leur contexte.
BALLET Pascale, BERTRAND Isabelle, LEMAITRE Séverine.

De la Gaule à l’Orient méditerranéen. Fonctions et statuts des mobiliers archéologiques dans leur contexte.

PURennes
Prix régulier €35,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 21566
Format 21 x 27
Détails 540 p., illustrations N/B., broché.
Publication Rennes, Le Caire, 2018
Etat Neuf
ISBN

Ce volume est issu du colloque international d’archéologie intitulé Les mobiliers archéologiques dans leur contexte, de la Gaule à l’Orient méditerranéen : fonctions et statuts tenu à l’université de Poitiers. Conçu à l’échelle du monde antique, associant l’Orient et l’Occident, le colloque, organisé par l’équipe HeRMA (Hellénisation et romanisation dans le monde antique), en coordination avec l’Ifao (Institut français d’archéologie orientale, Le Caire), a proposé aux chercheurs de développer leurs réflexions sur les liens existant entre les mobiliers archéologiques et leur contexte de découverte dans un cadre chronologique volontairement large, de l’âge du Fer à l’Antiquité tardive. Les objets produits dans l’Antiquité possédaient une fonction qui peut, dans une certaine mesure, être identifiée d’après leur morphologie. Les matériaux utilisés pour les fabriquer – argile, pierre, métal, verre… – contribuent à préciser cette identification, soulevant la question de l’accessibilité des matières premières et de leur proximité géographique, ou celle de la catégorie sociale à laquelle appartiennent consommateurs et/ou commanditaires. En parallèle, les chercheurs ont développé de nouvelles orientations privilégiant la notion d’assemblage, liée à celle de contexte ; elle peut inclure une approche statistique des corpus, et vise à augmenter les possibilités d’analyses comparatives, économiques, identitaires. Le livre comporte une cinquantaine de contributions dont l’agencement reprend les thématiques distinguées au moment du colloque. Celui-ci débute par la vision d’un anthropologue dont l’approche apparemment décalée, d’un point de vue disciplinaire, spatial et chronologique, met l’accent sur la dimension symbolique très forte accordée aux objets selon leur contexte d’utilisation et dont les archéologues ne peuvent que pressentir l’existence à partir des artéfacts collectés en fouille.

Ce volume est issu du colloque international d’archéologie intitulé Les mobiliers archéologiques dans leur contexte, de la Gaule à l’Orient méditerranéen : fonctions et statuts tenu à l’université de Poitiers. Conçu à l’échelle du monde antique, associant l’Orient et l’Occident, le colloque, organisé par l’équipe HeRMA (Hellénisation et romanisation dans le monde antique), en coordination avec l’Ifao (Institut français d’archéologie orientale, Le Caire), a proposé aux chercheurs de développer leurs réflexions sur les liens existant entre les mobiliers archéologiques et leur contexte de découverte dans un cadre chronologique volontairement large, de l’âge du Fer à l’Antiquité tardive. Les objets produits dans l’Antiquité possédaient une fonction qui peut, dans une certaine mesure, être identifiée d’après leur morphologie. Les matériaux utilisés pour les fabriquer – argile, pierre, métal, verre… – contribuent à préciser cette identification, soulevant la question de l’accessibilité des matières premières et de leur proximité géographique, ou celle de la catégorie sociale à laquelle appartiennent consommateurs et/ou commanditaires. En parallèle, les chercheurs ont développé de nouvelles orientations privilégiant la notion d’assemblage, liée à celle de contexte ; elle peut inclure une approche statistique des corpus, et vise à augmenter les possibilités d’analyses comparatives, économiques, identitaires. Le livre comporte une cinquantaine de contributions dont l’agencement reprend les thématiques distinguées au moment du colloque. Celui-ci débute par la vision d’un anthropologue dont l’approche apparemment décalée, d’un point de vue disciplinaire, spatial et chronologique, met l’accent sur la dimension symbolique très forte accordée aux objets selon leur contexte d’utilisation et dont les archéologues ne peuvent que pressentir l’existence à partir des artéfacts collectés en fouille.